segunda-feira, 30 de março de 2015

LIGUE 1 - FRANCE

Resultado de imagem para ligue 1 Resultado de imagem para BANDEIRA FRANCE


Le PSG porte la croissance du foot français



Le chiffre d'affaires des clubs professionnels français a cru de 20,8% entre 2011 et 2013 à 1,5 milliard d'euros, mais aurait diminué de 3,7% sans l'apport du PSG, selon le 3e Baromètre Foot Pro 2014 publié lundi par l’UCPF.
«Le PSG, c'est l'arbre qui cache la forêt, derrière, les clubs font le dos rond», expliquait Philippe Diallo, directeur général de l'Union des clubs professionnels de football (UCPF), lundi matin, en rendant publique la 3e édition du Baromètre des impacts économiques et sociaux du foot pro (soit 40 clubs de L1 et L2 ainsi que 4 clubs de National ayant conservé leur statut pro). «Les clubs ont été touchés par la crise et sauf l'arrivée de nouveaux actionnaires, la situation est plus difficile pour les clubs en raison des problèmes de leurs partenaires et sponsors », poursuivait-il.
Le PSG concentre plus d’un quart des revenus
Un seul chiffre pour mesurer la hauteur de l'arbre parisien et le désert que masquent ses bons résultats financiers: sur la saison 2012-2013, les clubs pro français ont globalement enregistré une croissance de 20,8% de leur chiffre d'affaires cumulé (1,5 milliard d’euros).  Mais si l'on exclut le PSG du calcul, il est en diminution de 3,7% (à 1,1 milliard d’euros), en raison notamment de la baisse de 61 millions des droits télé pour 2012-2016, et de la forte diminution des recettes de sponsoring liée à la crise. 
Avec 400 millions de chiffre d’affaires, le club de la capitale -devenu propriété du fonds d’investissement qatarien QSI en 2011- enregistre en revanche une progression de 100% sur cette même période. Et engrange à lui seul plus d'un quart des revenus des 44 clubs professionnels.
L’écart se creuse avec la concurrence européenne
En dépit de la locomotive parisienne, les revenus du foot professionnel en France restent largement distancés par ceux de ses rivaux européens. A droits télé comparables (620 millions d’euros contre 632 millions d’euros en France), la Bundesliga a encore creusé l'écart avec la Ligue 1: le différentiel entre leurs revenus a ainsi augmenté de 37% en six ans, grâce notamment à la capacité des clubs allemands à générer de fortes recettes les jours de match dans des stades de nouvelle génération.
«Le total des revenus strictement liés à la compétition (droits TV, billetterie, sponsoring) ne couvre pas les charges», décrypte Philippe Diallo. « Les clubs enregistrent un déficit de 300 millions. Le seul mécanisme qui permette de retrouver l'équilibre est celui des transferts, il s'agit de trouver un complément de revenu pour revenir à l'équilibre.»
Fiscalité désavantageuse
L'écart entre les championnats européens en matière de compétitivité tient en effet à la grande différence de traitement des clubs du continent en matière fiscale. Quand en France un club débourse 504.000 euros de charges (hors taxe à 75%) pour un salaire annuel brut de 1,8 million d’euros, son homologue allemand verse lui 12.000 euros de cotisations. En 2013, les clubs pro ont payé 714 millions d’euros de cotisations sociales et fiscales (dont 23 de taxe à 75%), soit la moitié des contributions de la filière (les clubs mais également les sous-traitants, les équipementiers, le BTP, les médias, les paris en ligne) qui se montent à 1,54 milliard d’euros, alors que les clubs ne représentent que 25% de ses revenus.
Un rôle social
En hausse de 19% à 6 milliards d’euros, le chiffre d'affaires total de la filière football  est accompagné d'une augmentation du nombre d'emplois directs et indirects générés par ses activités. Le «foot pro» occupe aujourd'hui 26.107 actifs, à temps partiel ou plein, soit 1000 de plus qu'en 2013. Une hausse directement liée à la campagne de rénovation ou de construction de stades, en vue de l'Euro-2016. «Pour que les nouveaux stades soient un relais de croissance, il faut que les clubs soient associés à leur gestion», conclut Philippe Diallo en pointant qu'en France, un seul d'entre eux, l'Olympique Lyonnais, est aujourd'hui propriétaire de son enceinte, vecteur de croissance des années à venir.

Jallet absent quatre semaines

Christophe Jallet sera indisponible pour une durée de l'ordre de quatre semaines en raison d'une luxation antérieure de l'épaule gauche, a annoncé l'Olympique lyonnais lundi. Le joueur, qui s'est blessé à la 89e minute du match amical international France-Danemark (2-0), dimanche soir à Saint-Etienne a passé des examens lundi matin au Centre orthopédique Paul-Santy à Lyon auprès des docteurs Gilles Walsch et Lionel Neyton qui ont confirmé le premier diagnostic de l'encadrement médical de l'équipe de France. Jallet, joueur champ de l'OL le plus utilisé en Ligue 1 cette saison par Hubert Fournier, devrait donc manquer au moins les matches contre Guingamp, Bastia, Saint-Etienne et Reims.


B.Bourigeaud absent à Bordeaux ?

Le milieu de terrain lensois Benjamin Bourigeaud, pourrait ne pas être du voyage à Bordeaux à l'occasion de la 31e journée du Championnat. Le joueur de 21 ans, formé au club, s'est blessé ce week end lors de la victoire de la CFA lensoise face à Mantes (2-1). Il souffre d’un traumatisme du pied droit et doit passer des examens pour connaître la gravité de sa blessure et la durée de son indisponibilité. 


Zidane : «Le PSG ? Je ne m’interdis rien»

Interrogé par un téléspectateur du Canal Football Club sur la possibilité de le voir un joueur entraîner le PSG, Zinédine Zidane n’écarte pas l’idée. «Entrainer le PSG un jour ? Ca va être compliqué, mais je ne m'interdis rien, surtout en tant qu'entraineur. Il ne faut jamais dire jamais. Ça aurait été plus dur à imaginer comme joueur», a déclaré l’ancien n°10 des Bleus.

Nenhum comentário:

Postar um comentário