Pour Monaco, voici les quatre hommes de Valence à surveiller
Monaco n'est pas verni. Les hommes de Leonardo Jardim devront se coltiner le FC Valence en barrages pour pouvoir accéder aux phases de poules de la Ligue des champions. Voici les quatre hommes que devront surveiller Toulalan et consorts.
Antonio Barragan (ESP, 28 ans)
Un latéral droit très dangereux pour l'AS Monaco. (L'Equipe)
Le latéral droit des Murcielagos est un véritable rescapé. Aux prémices de la saison 2014-2015, Barragan ne convainc plus ses dirigeants qui hésitent à le prolonger, son contrat expirant en juin 2015. Par force de caractère, il prouve alors aux huiles valenciannes qu’il est le joueur adéquat au poste. Physiquement, son mètre 86 en impose et il se retrouve alors comme l’un des hommes forts de la défense de Valence. Son profil atypique n’empêche pas sa rapidité, ni sa qualité de centre, très précise. Les Monégasques devront s’en méfier.
Sofiane Feghouli (ALG, 25 ans)
On n’a presque plus besoin de le présenter. L’international algérien s’est imposé comme une pièce maitresse du système de Nuno Espirito Santo, le coach portugais. Capable d’évoluer sur un côté ou dans le cœur du jeu, la polyvalence de Sofiane Feghouli fait merveille. Il a participé à 33 rencontres de Liga la saison dernière pour un ratio de 6 buts et 5 passes décisives. Le milieu de terrain monégasque devra s’atteler à bloquer les transmissions de balle avec les attaquants. Sinon, sa qualité de passe pourrait faire des ravages au sein de la défense centrale du Rocher.
Enzo Perez (ARG, 29 ans)
Sofiane Feghouli (ALG, 25 ans)
On n’a presque plus besoin de le présenter. L’international algérien s’est imposé comme une pièce maitresse du système de Nuno Espirito Santo, le coach portugais. Capable d’évoluer sur un côté ou dans le cœur du jeu, la polyvalence de Sofiane Feghouli fait merveille. Il a participé à 33 rencontres de Liga la saison dernière pour un ratio de 6 buts et 5 passes décisives. Le milieu de terrain monégasque devra s’atteler à bloquer les transmissions de balle avec les attaquants. Sinon, sa qualité de passe pourrait faire des ravages au sein de la défense centrale du Rocher.
Enzo Perez (ARG, 29 ans)
L'élégant Enzo Perez peut casser des lignes avec ses passes-lasers (L'Equipe)
La pépite du FC Valence. Arrivé en renfort en provenance du Benfica en janvier dernier, Enzo Perez a coûté la bagatelle de 25 millions d’euros. Capable de se nicher dans le cœur du jeu ou de mordre la ligne à certains moments, l’international argentin est un talent à l’état pur. Après un petit temps d’adaptation sous les couleurs du clubché, il aborde la saison 2015-2016 dans un rôle déterminant. Et s’il réitère les mêmes performances exceptionnelles qu’il a alignées lors de la saison 2013-2014 avec un triplé national (Championnat, Coupe de la Ligue, Coupe du Portugal) et une finale de Ligue Europa (perdue contre Séville), il sera bien compliqué de le museler...
Paco Alcacer (ESP, 21 ans)
A presque 22 ans, il démontre enfin qu’il a les qualités pour exploser définitivement au poste de buteur. Souvent décrié pour sa maladresse et son profil un peu tendre devant les bois, Paco Alcacer commence à faire taire toutes les mauvaises langues. La saison passée, il a scoré à 18 reprises en 42 rencontres et son association avec Alvaro Negredo a parfois fait des étincelles. Grâce à ses performances, Alcacer fait désormais partie du giron de la Roja et il commence sérieusement à tambouriner à la porte. En seulement six sélections avec l’équipe nationale d’Espagne, il a déjà réussi le tour de force de marquer quatre fois. Un danger permanent pour Danijel Subasic qui devra rester bien vigilant...
Paco Alcacer (ESP, 21 ans)
A presque 22 ans, il démontre enfin qu’il a les qualités pour exploser définitivement au poste de buteur. Souvent décrié pour sa maladresse et son profil un peu tendre devant les bois, Paco Alcacer commence à faire taire toutes les mauvaises langues. La saison passée, il a scoré à 18 reprises en 42 rencontres et son association avec Alvaro Negredo a parfois fait des étincelles. Grâce à ses performances, Alcacer fait désormais partie du giron de la Roja et il commence sérieusement à tambouriner à la porte. En seulement six sélections avec l’équipe nationale d’Espagne, il a déjà réussi le tour de force de marquer quatre fois. Un danger permanent pour Danijel Subasic qui devra rester bien vigilant...
Le PSG n'aime pas la première journée
Les chiffres parlent. Depuis 2006-2007, le club de la capitale n'a remporté qu'un seul succès en neuf démarrages de Ligue 1. Problèmes d'internationaux ou simple blocage ? Retour sur quelques calages du Paris Saint-Germain.
C’est devenu une fâcheuse habitude au fil des années. Stars ou pas stars, le Paris Saint-Germain n’aime pas la première journée de Ligue 1. Il suffit de demander à un pronostiqueur ou un joueur de Loto, il cochera le nul ou la défaite du PSG. Le club de la capitale est un diesel et ne supporte pas les démarrages à froid. Depuis 2006-2007, Paris n’a su s’imposer qu’à une seule reprise : c’était lors de la saison 2010-2011 avec une victoire au Parc face à l’AS Saint-Etienne sur le score de 3-1. Sinon, le PSG cumule 3 défaites et 5 matches nuls. Retour sur ces retards à l’allumage.
Le plus fou : 2014-2015, 2-2 à Reims
L’orage s’abat sur Auguste-Delaune et rien ne laisse augurer d’un match palpitant et équilibré. Le Paris Saint-Germain marche sur Reims dans les premières minutes de jeu. Dès la 7e minute, Ibrahimovic ouvre la marque sur un caviar de Pastore. On se dit alors que Paris va dérouler, et c’est le cas. Zlatan loupe l’immanquable quelques instants plus tard sur un cadeau de Verratti. L’international suédois continue les vendanges, rare pour lui, en loupant un penalty bien repoussé par Placide. Reims se réveille alors et fait basculer le match qui prend des allures de fête sur le terrain. Prince Oniangué vient égaliser avant qu’Antoine Devaux ne vienne doubler la marque pour les Champenois. Les ouailles de Vasseur font le spectacle et mènent 2-1 à la pause. Paris va se réveiller de nouveau grâce à Ibrahimovic et le match continue dans sa douce folie, se concluant sur une pelletée d’occases et un score nul.
Le plus logique : 2013-2014, 1-1 à Montpellier
Les deux derniers champions de France se retrouvent pour l’ouverture de la Ligue 1. Paris aligne sa grosse armada avec Zlatan Ibrahimovic, Javier Pastore, Lucas et le tout frais arrivant du Napoli, le transfert le plus cher de l’histoire du Championnat hexagonal : Edinson Cavani. L’attente est grande autour de ce PSG, mais c’est finalement un joueur de Montpellier qui va se parer de son plus beau costume pour la soirée. A la baguette du jeu héraultais, Rémy Cabella régale. Passes en profondeur, dribbles, le natif d’Ajaccio est déjà chaud. Il ouvre la marque dès la dixième minute et la Mosson explose. Le PSG, de son côté, ne faiblit pas. Les hommes de Blanc poussent pour tromper la vigilance de Jourdren. Maxwell trouve enfin la faille à l’heure de jeu sur un service de Zlatan Ibrahimovic. Malgré l’exclusion de l’international marocain El Kaoutari, le tableau d’affichage ne bougera plus. Logiquement, Paris repart avec le point du nul.
Le plus ouf de soulagement : 2012-2013, 2-2 contre Lorient
En 2012, le PSG entre dans une nouvelle ère. Celle des succès, des paillettes et des superstars. QSI n’a pas hésité une seconde lors du mercato estival. Lavezzi, Verratti, Van der Wiel et les deux Milanais Thiago Silva et Ibrahimovic se parent de bleu. Pour la première au Parc, ils sont attendus comme le messie. Seulement, Lorient en a décidé autrement aujourd’hui. Les joueurs de Christian Gourcuff promènent habilement la balle et sont d’une grande solidité défensive. Les Merlus ont aussi à leur côté l’efficacité des grands soirs. Sur des buts de Maxwell (csc) et d’Aliadière, ils mènent 2-0 sur la pelouse du Parc à la pause. Stupeur. C’est à ce moment-là que le géant suédois décide de se réveiller. A lui tout seul, il trouve les filets de Fabien Audard pour la réduction du score, puis conclut un penalty dans les arrêts de jeu de la rencontre. Un nul, au goût de victoire pour les hommes de Carlo Ancelotti.
Le plus pschitt : 2011-2012, 0-1 contre Lorient
Les investisseurs qatariens viennent de débarquer à Paris avec la ferme intention de régner sur le Championnat de France et d’aller titiller les grands clubs européens. Nasser al-Khelaïfi commence son recrutement avec les arrivées de Bisevac, Menez, Matuidi, Sirigu, Gameiro… et un certain Pastore qui ne joue pas la première rencontre. L’équipe suscite une très grande attente des observateurs du Championnat de France. Et pourtant, ça fait pschitt dès les premières minutes de jeu de cette saison 2011-2012. Paris déçoit dans le jeu et se fait rapidement surprendre par un Julien Quercia opportuniste. Malgré une forte poussée dans les derniers instants, le PSG ne parviendra pas à égaliser. Une énorme surprise qui n’empêchera pas les ouailles d’Ancelotti d’aller accrocher la deuxième place derrière Montpellier.
Le plus improbable : 2006-2007, 2-3 contre Lorient
Comment se faire cueillir à froid ? Acte I. Scène I. Le décor est planté. Le Parc des Princes accueille en prime avec mots doux et billets d’amour un certain Fabrice Fiorèse. Passé par l’OM, le «traître» est houspillé et chahuté par les kops franciliens dès les premières secondes de jeu. Il répondra de la plus belle des façons. Avec un doublé importantissime, le Savoyard permet aux Merlus de rester à flot avant que Rafik Saïfi ne vienne poignarder le PSG à un quart d’heure de la fin. Une victoire surprenante des hommes de Gourcuff (3-2). Le début des embêtements au démarrage pour le Paris Saint-Germain.
Saint-Étienne retrouve ses amis de Milsami
Saint-Étienne connaît son adversaire en barrages de la Ligue Europa, dont le tirage au sort a été effectué ce vendredi midi. Et les Verts vont retrouver Milsami Orhei, club moldave qu'ils ont déjà affronté et battu il y a deux ans au 3e tour préliminaire de cette même compétition (3-0, 3-0, avec notamment trois buts de Brandao sur l'ensemble des deux rencontres). Le match aller est prévu le jeudi 20 août en Moldavie, le retour une semaine plus tard, le 27 à Geoffroy-Guichard.
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