terça-feira, 18 de agosto de 2015

FOOTBALL FRANÇAIS - NOUVELLES

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Les 5 infos transferts à retenir

Rémy Cabella est tombé d'accord avec l'OM

Rémy Cabella sera bientôt un nouveau joueur de l'Olympique de Marseille. À l'issue d'une réunion en fin de journée, ce mardi, le club et le joueur de Newcastle sont tombés d'accord sur un prêt avec option d'achat (estimée à 8 M€), comme l'a révélé lequipe.fr. L'officialisation de son arrivée devrait intervenir rapidement, sous réserve de la visite médicale.

Mateo Kovacic (Inter Milan) six ans au Real Madrid

Le Real Madrid a officialisé ce mardi après-midi l’arrivée du milieu de terrain offensif Mateo Kovacic (21 ans) en provenance de l’Inter Milan. La signature du joueur en faveur du club madrilène était attendue depuis quelques jours. Le Real a indiqué que Kovacic, qui s’est engagé pour six ans, serait présenté mercredi à 13 heures au stade Santiago-Bernabeu après avoir passé sa visite médicale. Selon les médias espagnols et italiens, le montant du transfert s'élève à 30 millions d'euros (+ 5 de bonus).

Mike Maignan (PSG) vers Lille

Comme annoncé par La Voix du Nord ce mardi, le PSG et Lille se sont mis d’accord pour le transfert du jeune gardien de but Mike Maignan à qui il restait un an de contrat avec le club parisien. Le montant de la transaction est estimé à 1 million d’euros pour un contrat dont la durée devrait être d'au moins quatre ans selon les informations de L'Equipe.

West Bromwich Albion refuse une offre de Tottenham pour Saido Berahino

West Bromwich Albion a refusé mardi une offre de 33,4 millions d'euros de la part de Tottenham pour Saido Berahino (22 ans). «Nous n'avons aucun intérêt à le vendre, a déclaré Jeremy Peace, le président de WBA. Je sais que nous vivons dans une époque où il ne faut jamais dire jamais à propos de la vente d'un joueur, mais la cession de Saido n'est pas d'actualité.» L'attaquant international Espoirs anglais a inscrit 14 buts en Premier League la saison passée.

Jean-Victor Makengo signe son premier contrat pro avec Caen

Champion d'Europe U17 au printemps dernier, Jean-Victor Makengo a signé ce mardi son premier contrat professionnel avec le Stade Malherbe de Caen. Le milieu de terrain, «un peu dans le profil d'un N'Golo Kanté» selon le co-responsable de l'équipe réserve, Grégory Proment, s'est engagé jusqu'en juin 2018 avec le club normand.
LES CONFIDENCES DU JOUEUR MASQUÉ

« Valbuena pourrait avoir la Palme d'or tous les ans »


Un footballeur de Ligue 1 a accepté de nous parler, une fois par semaine sur FF.fr, des dessous de notre Championnat. Chaque semaine, ce même joueur abordera pour vous un sujet qui lui tient à coeur. En rapport avec l'actualité, ou pas. Une chose est sûre : il connait très bien la L1 et y joue actuellement. Mais vous n'en saurez pas davantage sur lui.
Cette semaine, le joueur masqué, inspiré par la comédie grotesque jouée samedi par Geoffrey Jourdren, a décidé de parler des meilleurs simulateurs de la Ligue 1.

La simulation, il y a plein de pays où elle n’est pas mal perçue. Pour gagner, parfois, il faut être malin… Et dans certaines cultures, je pense que la capacité à bien se laisser tomber est une force. En France, on voit ça simplement comme de la triche. Ça peut être un atout, mais au final, tout le monde va voir qu’il y a simulation. Il y a des caméras partout, des ralentis et aujourd’hui, les simulateurs passent pour des cons. Donc pour moi, ce n’est plus acceptable. 
Thiago Motta, dans le vestiaire, on dit que c'est une p***. Il n'y a pas d'autre mot.
Ce qu’a fait Jourdren, par exemple, c’est n’importe quoi. Il passe vraiment pour un con ! Qu’est-ce qu’il a voulu faire ? Le malin ? Mais tout le monde te regarde mon pote… ça ne sert à rien. Après, il y a pire que lui. Cette saison, le meilleur acteur de Ligue 1 est revenu : c’est Mathieu Valbuena. Il fait un cinéma pas possible ! Il roule, il roule, il roule… Quand tu es dans la tension d’un match, ça t’énerve trop ! Bon après, il essaye de jouer avec ses atouts mais bon, il exagère. Lui, tous les ans, il pourrait avoir la Palme d’or tellement il est bon acteur.  Heureusement, en Ligue 1, il n’y a pas beaucoup de joueurs dans son profil. Les attaquants de notre Championnat aiment le duel, sont plutôt costauds dans l’ensemble et ne tombent pas beaucoup.
Ce qu'a fait Jourdren, par exemple, c'est n'importe quoi. Il passe vraiment pour un con !
Après, quand on est dans le vestiaire, il y a un joueur qui est tout le temps au centre des conversations lorsqu’on s’apprête à jouer contre lui : c’est Thiago Motta. Lui, il abuse sur le terrain. Dans un autre style que Valbuena, mais il abuse vraiment. Ce mec-là, on l’aime et on l’admire par rapport à son football, mais sur le terrain, on est obligé de le détester pour son attitude. Je vais te dire franchement : entre joueurs, on dit que c’est une p***. C’est vulgaire, mais il n’y a pas d’autre mot. Il fait tout ce que tu n’aimes pas, tout pour t’emmerder : il triche, il parle. S’il peut te mettre un petit coup de poing dans la gueule, il te le met. S’il peut te marcher dessus, il te marche dessus. Il est sans états d’âme. Tous les joueurs de Ligue 1 le savent, et on en parle beaucoup entre nous… Donc sa notoriété est déjà faite depuis longtemps dans le Championnat. »

Casoni, c'est presque fini en Hongrie...

Le séjour de Bernard Casoni en Hongrie devrait rapidement être écourté. A la tête du club de Videoton, l’ancien coach de Valenciennes vient de subir quatre défaites en seulement cinq rencontres de Championnat avec le même nombre de points que les deux relégables actuels. Pour rappel, Videoton est le champion sortant de la ligue magyare... La cessation de contrat serait en cours de discussion. Les deux parties devraient s’entendre avant la rencontre de Ligue Europa de jeudi entre Videoton et le Lech Poznan.

En se mariant avec moi, les initiales de ma femme sont devenues O.M.»

Cette semaine, Francefootball.fr tire le portrait de ces supporters de clubs français vivant aux quatre coins du monde. Ce mardi, Salim, 32 ans, un inconditionnel de l'Olympique de Marseille, né en Algérie et vivant en Indonésie.
Sa passion l’envahit lorsqu’il évoque ces deux lettres si chères à son cœur. OM. Les initiales de sa femme bien sûr, mais aussi celles de l’Olympique de Marseille. A 11 400 kilomètres du Stade Vélodrome, Salim suit toujours le club phocéen et n’hésite pas à se lever à 2 heures du matin. Déçu de la défaite à Reims, il s’est rapidement replongé dans son travail de géophysicien en Indonésie. Enfant d’Alger, il ne pouvait échapper à la vague Marseille. «Je me revois à 7-8 ans regarder une chaine anglaise à la télévision et voir les buts de Papin et Cantona défiler sur l’écran, sans vraiment savoir qui était l’OM. Ma vraie passion est née à 10 ans, en 1993, un soir de mai», raconte-t-il avec émotion.

«Comme un fou sur le but de Boli à Munich»

Ce soir-là, l’OM touche au Graal et remporte la Ligue des champions face au grand Milan AC (1-0). Salim explose de joie devant sa télévision. «J’étais comme un fou lors du but de Basile Boli à Munich. A un tel point que mes parents m’ont demandé de me calmer et de baisser le ton, sourit-il. Je ne sais pas si je réalisais l’ampleur de l’exploit. Mais en tout cas, c’est l’un de mes plus beaux souvenirs. J’ai célébré le but comme si c’était moi qui l’avait marqué». La télévision française a pignon sur rue en Algérie et Salim se passionne pour la tunique ciel et blanche en suivant tous les matches, parfois de manière plus… détournée. «J’essayais de regarder les rencontres en crypté sur Canal Plus, mais ce n’était pas facile».

Dans sa boîte à souvenirs, Salim retiendra le 4-2 de l’OM face au PSG «avec une ambiance de fou et Maurice qui embrasse sa chaussure» ou encore l’incroyable Marseille-Montpellier de la saison 1998-1999, «J’étais avec un pote, on revenait d’un match entre amis. En rentrant à la maison, je mets le télétexte. Il y a un énorme bug qui se produit à ce moment-là. Le score affiché donne ça : Marseille -4 Montpellier. On se dit : "Même pas besoin de regarder le nombre de buts de l’OM !" J’étais dégouté. Puis j’ai rafraîchi et là le 5 est apparu. J’ai halluciné…»

Pierluigi Collina et Laurent Blanc

Supporter OM
Supporter OM
Son pire flashback : la finale de Coupe de l’UEFA perdue en 2004 face à Valence (0-2). «Une grande saison de Drogba. Malheureusement, le rêve est brisé par le carton rouge de Pierluigi Collina», soupire l’Algérois. Salim garde un souvenir ému de Laurent Blanc sous le maillot phocéen, il le considère comme l’un des meilleurs, «d’un charisme et d’une classe incroyable». Il n’a pas encore eu la chance de vivre le frisson du Vélodrome, mais espère de tout cœur y mettre un jour les pieds, «rien que d’en parler, j’en ai la chair de poule». A la fin de la conversation, ce fada de l’Olympique de Marseille ne manque pas de glisser une jolie anecdote : «En se mariant avec moi, les initiales de ma femme sont devenues O.M. C’est un beau signe du destin non ?»

Quand les boss de l'OL jouent aux comparaisons...

L'Olympique Lyonnais a présenté hier sa dernière recrue, Mapou Yanga-Mbiwa. Aux côtés du président Jean-Michel Aulas et de son conseiller Bernard Lacombe, l'ancien Montpelliérain a été honoré. Comment ? Par une comparaison osée, une technique habituelle de la maison OL.

Mapou Yanga-Mbiwa = Marius Trésor

Le nouveau Marius Trésor. Voilà comment a été présenté Mapou Yanga-Mbiwa en conférence de presse, lundi 17 août, par Bernard Lacombe. L’objectif : montrer aux supporters qu’à Lyon, on ne recrute que les meilleurs. Une communication bien rôdée et habituelle. Valoriser et justifier un achat, préparer et optimiser une vente : une seule solution, la bonne comparaison.
 
Pour saluer l’arrivée du stoppeur de 26 ans, le conseiller du président n’a pas lésiné sur les moyens : «Il me fait penser à Marius Trésor». Visiblement convaincu d’avoir recruté un cador et cherchant à légitimer sa comparaison, Bernard Lacombe a salué«les qualités de détente et de vitesse» du nouveau défenseur des Gones.

Nabil Fekir = Lionel Messi

Les prises de parole de Jean-Michel Aulas laissent rarement indifférent ! Ainsi, le 22 février dernier, lorsque la nouvelle hype Fekir bat déjà son plein, le président y participe avec joie. «Nabil c’est mon Messi à moi», déclare-t-il au détour d’une explication sur le plaisir à voir des jeunes formés au club exploser en équipe première.
 
Immédiatement moqué – notamment sur les réseaux sociaux – il ne se démonte pas. Il réaffirme son opinion le 8 mars, en avançant qu’«à chaque match il crée quelque chose». Alors en forme olympique, le chauvin président reprend l’expression de Gérard Houiller et attribue à Fekir «une dimension mondiale».

Alexandre Lacazette > Gareth Bale

Début 2015, Lacazette est en pleine bourre. Alors le président s’emballe le 13 janvier. Il commence avec malice par une question réthorique, «Comment s’appelle le Gallois du Real, déjà ?», puis conclue par un très sobre «Alexandre est bien meilleur». Le but de la manœuvre crève les yeux, mais JMA veut vraiment nous la donner, au cas où on ne comprendrait pas… Il continue donc en affirmant tout haut – alors que personne ne lui demande – que Lacazette «n’a pas de prix» et qu’il a «une valeur inestimable». On vérifiera cela dans quelques mois !

Sur la même longueur d’ondes, le conseiller Bernard Lacombe embraye. Le 4 mars, l’ancien buteur lâche que «si on parle d’efficacité, Lacazette possède les mêmes caractéristiques du Benzema». Jusqu’où cela va-t-il aller ? Car le 7 octobre 2014, le meilleur buteur français de l’histoire de la Ligue 1 (255 buts) avait déjà placé l’actuel buteur lyonnais au-dessus d’un ancien international passé au club : «Dans ses appuis, il me fait penser à Sylvain Wiltord mais avec une faculté à marquer plus de buts encore».

Clinton Njie = Samuel Eto'o

Resté moins longtemps au club, il aura eu moins de comparaisons. Mais une seule saison aura tout de même suffit à en récolter une, et une belle ! JMA clame le 22 avril que «Clinton est un formidable joueur, tellement jeune. Le futur Eto’o». Apparemment, cela n’était pas suffisant pour rester au club (vendu à Tottenham). En même temps, l’OL compte déjà sur le nouveau Messi et l’égal de Benzema, on avait oublié.

Clément Grenier = petit Juninho

Au sortir d’une saison réussie (28 matches, 7 buts), Clément Grenier affiche de belles promesses. Le milieu offensif formé au club fait déjà saliver ses dirigeants. A tel point, que JMA se prend à espérer un nouveau Juninho. La comparaison est lancée le 20 mai 2013, pendant l’organisation d’un match amical face au Red Bull de New York  :«J’espère que l’on pourra présenter à Juninho son petit frère Clément Grenier».
 
Mais attention ! La comparaison à Lyon, ça ne sent pas toujours bon. Petit exemple avec le tacle par derrière reçu par Yoann Gourcuff il y a quelques semaines, œuvre de l’ancien joueur et actuel conseiller, Nanard : «Vous savez, à l’OL, il y a trois numéros fétiches, dont le 8 de Juninho. Je ne veux pas parler d’une autre personne…» Enfin, surtout quand vous avez quitté le club. A ce moment là, la logique s’inverse. Bizarrement.

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