Le Paris Saint-Germain va disputer vendredi face à l'ASSE le 1000e match de son histoire au Parc des Princes. Au coeur d'un début de saison mouvementé.
Mardi, le Paris Saint-Germain entamera sa campagne 2016-2017 de Ligue des Champions avec l'ambition de prouver que les bouleversements estivales sont allés dans le bon sens. Mais avant de penser à la rencontre face à Arsenal, les hommes d'Unai Emery auront un rendez-vous important face à l'AS Saint-Etienne qui marquera le 1000e match de l'histoire du club au Parc des Princes. À cette occasion, les joueurs qui ont foulé la pelouse de l'enceinte du XVI arrondissement en 1973, lors de la première du PSG à Saint-Cloud, ont tous été invités. Certains viennent de loin. Jacques Laposte et Jacky Bade arriveront directement des Antilles, tous frais payés par le club. Un hommage est également prévu pour les défunts (Dogliani, Monteiro, Bereau...).
La défaite à Monaco a rendu la rencontre plus importante qu'elle ne l'était
Un match qu'ils auraient pu voir comme une préparation avant le combat européen les attend. Sauf que la défaite à Monaco (1-3), juste avant la trêve internationale, a fait naître les premières critiques autour des choix parisiens cet été. Le départ de David Luiz vers Chelsea le 31 août n'a pas non plus aidé. "Quand tu as perdu, c'est encore plus important d'analyser ce qui n'a pas été, mais je le fais aussi quand on gagne, a expliqué jeudi Unai Emery. Notre position tactique doit être améliorée, on a fait ce travail avec le staff technique. On a manqué de discipline tactique et on doit l’améliorer. Pourtant, on a bien commencé la présaison en jouant ensemble, avec une bonne transition attaque-défense, mais on l’a perdu un peu."
Sans remettre en question le travail fait pendant la préparation, Unai Emery sait que l'exigence physique qu'il a avec son groupe amène quelques moments de relâchement. "J'aime ça, enchaînait Thomas Meunier. Le coach n'aime pas les joueurs qui lèvent le pied. Il y a un temps pour rire et un temps pour le travail et je trouve ça bien." Sans aller jusqu'à dire qu'il y a de la pression autour du groupe, les deux hommes ont avoué en conférence de presse que la réception de Saint-Etienne devait se terminer par une victoire. Un adversaire contre lequel Paris reste sur 10 succès de rang toutes compétitions confondues. Surtout, le PSG n'a plus enchainé deux défaites d'affilées depuis novembre 2011 (Nancy 0-1 et Marseille 0-3).
La défaite à Monaco a rendu la rencontre plus importante qu'elle ne l'était
Un match qu'ils auraient pu voir comme une préparation avant le combat européen les attend. Sauf que la défaite à Monaco (1-3), juste avant la trêve internationale, a fait naître les premières critiques autour des choix parisiens cet été. Le départ de David Luiz vers Chelsea le 31 août n'a pas non plus aidé. "Quand tu as perdu, c'est encore plus important d'analyser ce qui n'a pas été, mais je le fais aussi quand on gagne, a expliqué jeudi Unai Emery. Notre position tactique doit être améliorée, on a fait ce travail avec le staff technique. On a manqué de discipline tactique et on doit l’améliorer. Pourtant, on a bien commencé la présaison en jouant ensemble, avec une bonne transition attaque-défense, mais on l’a perdu un peu."
Sans remettre en question le travail fait pendant la préparation, Unai Emery sait que l'exigence physique qu'il a avec son groupe amène quelques moments de relâchement. "J'aime ça, enchaînait Thomas Meunier. Le coach n'aime pas les joueurs qui lèvent le pied. Il y a un temps pour rire et un temps pour le travail et je trouve ça bien." Sans aller jusqu'à dire qu'il y a de la pression autour du groupe, les deux hommes ont avoué en conférence de presse que la réception de Saint-Etienne devait se terminer par une victoire. Un adversaire contre lequel Paris reste sur 10 succès de rang toutes compétitions confondues. Surtout, le PSG n'a plus enchainé deux défaites d'affilées depuis novembre 2011 (Nancy 0-1 et Marseille 0-3).
Les déclarations à retenir :
Unai Emery, entraîneur du PSG : "Saint-Étienne a construit une équipe pour être dans les cinq premiers. Ils ont signé de bons joueurs, ils ont un bon entraîneur, ils sont en Ligue Europa. Tactiquement, Christophe Galtier travaille très bien et j'ai du respect pour nos adversaires. Leur motivation sera plus grande contre le PSG, comme à chaque fois."
Christophe Galtier, entraîneur de l'ASSE : "Avant, le Paris-SG était une machine réglée comme une Formule 1 et Ibra laissait très peu d'espoirs. Là, j'en ai. Entre les nouveaux joueurs, le changement d'entraîneur et les absents, tout n'est pas encore très bien réglé. Les Sud-Américains (Edinson Cavani, Marquinhos...) auront-ils véritablement récupéré de leur voyage en sélection, sachant qu'un match hyper important les attend après en Ligue des Champions ?"
La statistique à avoir en tête : 10
Paris reste sur 10 succès toutes compétitions confondues face à Saint-Etienne, la meilleure série de son histoire face aux Verts (25 buts marqués, 4 encaissés).
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