Les ultras du PSG ont rendu lundi hommage à Momo, l'animateur de Skyrock décédé dimanche.
Les Ultras du PSG ont rendu hommage ce lundi soir à Mohamed Sayah, alias Momo, l'animateur de Skyrock décédé dimanche à l'âge de 31 ans, devant les locaux de la radio. Surnommé aussi "Momo Saccomano", il participait chaque soir à l'émission Radio libre, animée par Difool, du lundi au vendredi, de 21 heures à minuit. Il était atteint par une tumeur au cervelet depuis 2008. Momo était une des figures des Supras, un groupe de supporters du virage Auteuil. «Même quand j’apprends pour la tumeur, je ne m’éloigne pas du PSG», avait-il déclaré à So Foot.
Julian Palmieri : «Si j'en faisais une histoire d'argent, je serais parti il y a bien longtemps»
Dimanche, Julian Palmieri aurait pu se sentir visé par les propos de son entraîneur, François Ciccolini, qui s'énervait contre le comportement de certains joueurs. Le joueur de Bastia a répondu.
Dimanche soir, après la défaite à Ajaccio (2-3), François Ciccolini, l’entraîneur bastiais, s’était énervé contre le comportement de certains joueurs. «La situation de certains joueurs est compliquée. Mais s’ils ne veulent pas rester, faut qu’ils s’en aillent. Point barre.»
Les propos du technicien corse, qui n’a nommé personne, auraient peut-être pu viser Julian Palmieri. Trois heures avant le match, le latéral du SCB échangeait sur Twitter avec son ancien partenaire, Anthony Modeste, sur un possible départ, alors qu’il arrive en fin de contrat en juin. Bien que sur le ton de l’humour, cette discussion ne semblait pas la manière la plus appropriée de préparer un derby. Le joueur, touché, a fait part de sa réaction lundi.
Les propos du technicien corse, qui n’a nommé personne, auraient peut-être pu viser Julian Palmieri. Trois heures avant le match, le latéral du SCB échangeait sur Twitter avec son ancien partenaire, Anthony Modeste, sur un possible départ, alors qu’il arrive en fin de contrat en juin. Bien que sur le ton de l’humour, cette discussion ne semblait pas la manière la plus appropriée de préparer un derby. Le joueur, touché, a fait part de sa réaction lundi.
«On est bien loin des 80 000 € annoncés»
«Pour le tweet, les gens qui me connaissent savent très bien que c’était de l’humour. Je ne trouve pas que c’était maladroit. Trois heures avant un match, on est dans une chambre d’hôtel. On a le droit de communiquer, on n’est pas des robots.» Le joueur a ensuite évoqué les propos de son entraîneur : «Je l’ai eu au téléphone. Il m’a confirmé qu’il ne parlait pas de moi.» Avant d'ajouter : «Sur mon contrat enfin, j’ai reçu une proposition de prolongation de trois ans la semaine dernière. On est bien loin des 80 000 € annoncés, ce sont des conneries. Je ne veux pas parler d’argent. Si j’en faisais une histoire d’argent, je serais parti il y a bien longtemps. On va réfléchir. On a décidé de faire des efforts d’un côté comme de l’autre. Cela concerne aussi la durée. J’ai 29 ans. Si je veux finir ma carrière ici, j’aimerais plus que trois ans.»
Impressionnant de réalisme depuis quelques semaines, Alexandre Lacazette est redevenu le buteur hors-pair qu'il était la saison dernière. Auteur de onze buts sur les douze dernières journées, l'attaquant de Lyon postule légitimement à une place dans les 23 pour l'Euro.
On l'avait presque oublié. Perdu dans un collectif lyonnais déchiré lors de la première partie de saison, Alexandre Lacazette est sorti de son réveil timidement dans les premières semaines de l'année. Puis à mesure que les résultats de l'OL se sont améliorés, le meilleur buteur du dernier championnat de France a pris confiance. Une confiance retrouvée qui l'a propulsé à nouveau sur le devant de la scène. Son poing rageur et ses effusions de joie avec ses partenaires sont redevenues des images courantes sur les pelouses de Ligue 1. Samedi après-midi, lors d'un match capital à Toulouse, il a marqué sur son seul tir dans les dix dernières minutes d'une rencontre qui semblait pourtant se refuser à lui. Son dix-huitième but cette saison, son onzième de la phase retour. Les onze ont même été inscrits lors des douze dernières journées.
Genesio : « Il est vraiment reboosté depuis janvier »
« Il est vraiment reboosté depuis janvier. Peu d'attaquants parviennent à réussir ce qu'il fait en ce moment », a récemment salué Bruno Genesio. Le nouvel entraîneur lyonnais n'est sans doute pas étranger à ce regain de forme. Les derniers mois de collaboration avec Hubert Fournier ont parfois été tendus quand l'international tricolore avait du mal à trouver le chemin des filets. Ses problèmes de dos sont derrière lui et depuis l'installation de Genesio sur le banc de l'OL, Lacazette n'a plus manqué un seul match. Sur le terrain, sa première partie de saison délicate avait été attribuée à l'absence de Nabil Fekir. Mais en réorganisant le onze lyonnais et en accordant sa confiance à Maxwell Cornet et Rachid Ghezzal, le nouvel entraineur des Gones a trouvé la solution idoine pour relancer son attaquant de pointe.
Une relation technique retrouvée avec Ferri, Tolisso et Ghezzal
« Actuellement, avec la vitesse et la percussion de Cornet et Ghezzal, il retrouve de la spontanéité. Il sait que ses deux partenaires vont le trouver dans l'axe et toujours avec une certaine vitesse, analysait Sidney Govousur le site Olympique-et-Lyonnais récemment. C'est cette vitesse qui change tout pour l'attaque lyonnaise depuis quelques semaines et qui fait de nouveau mal à ses adversaires. » Sur les dix-huit buts inscrits par Lacazette cette saison, Ferri, Tolisso et Ghezzal sont effectivement à la passe de façon quasi-automatique. Très décevant sur la phase aller lui aussi, le premier brille à nouveau sous les ordres de Bruno Genesio. Et sa relation technique avec Lacazette ne s'en trouve que renforcée.
Une histoire compliquée avec les Bleus
Pourtant, la présence du Guadeloupéen à l'Euro est loin d'être évidente. Pas appelé en équipe de France depuis le mois d'octobre et un match amical contre le Danemark, l'attaquant lyonnais n'a jamais eu une histoire facile avec les Bleus. Hormis une présence continue lors de la saison 2014-15, son aventure en sélection n'est pas linéaire. A peine dix sélections et un but. Un bilan bien maigre pour un joueur qui porte l'attaque de l'OL depuis deux saisons. « L'absence de Karim peut lui donner une chance supplémentaire pour retrouver l'équipe de France », a lâché Bruno Genesio la semaine dernière. Jean-Michel Aulas jugerait lui « terriblement injuste » une absence de son attaquant dans la liste des 23 le mois prochain. Car à mesure que Lacazette prend confiance, Olivier Girouds'enfonce dans le doute. Privé de but depuis le 13 janvier en Premier League, l'attaquant d'Arsenal ne fait pas l'unanimité auprès du public français.
Un duel avec Giroud... ou Gignac ?
Mais Didier Deschamps est pragmatique et cède rarement à la tentation. Difficile dans ce cas de figure de l'imaginer sortir Giroud de son groupe. Pour André-Pierre Gignac, c'est une autre histoire. Et c'est peut-être là que se situe la dernière carte à abattre pour Alexandre Lacazette. Ce qu'a bien compris Jean-Michel Aulas. Après la large victoire des Lyonnaises en demi-finale de la Ligue des Champions féminine dimanche, son président a fait la promotion de son attaquant en glissant un tacle à Gignac. « L'état d'esprit des Français qui jouent en France, et qui ont envie de démontrer sans être trop mercenaires trop tôt qu'on peut réussir dans une équipe de France qui joue l'Euro à domicile, peut être supérieur à l'opportunité de faire revenir d'Amérique du Sud ou d'ailleurs un certain nombre de joueurs. » Le lobbying pro-Lacazette a démarré entre Rhône et Saône. Mais le réveil est sans doute trop tardif.
Lacazette fait tout pour faire douter Deschamps
Impressionnant de réalisme depuis quelques semaines, Alexandre Lacazette est redevenu le buteur hors-pair qu'il était la saison dernière. Auteur de onze buts sur les douze dernières journées, l'attaquant de Lyon postule légitimement à une place dans les 23 pour l'Euro.
On l'avait presque oublié. Perdu dans un collectif lyonnais déchiré lors de la première partie de saison, Alexandre Lacazette est sorti de son réveil timidement dans les premières semaines de l'année. Puis à mesure que les résultats de l'OL se sont améliorés, le meilleur buteur du dernier championnat de France a pris confiance. Une confiance retrouvée qui l'a propulsé à nouveau sur le devant de la scène. Son poing rageur et ses effusions de joie avec ses partenaires sont redevenues des images courantes sur les pelouses de Ligue 1. Samedi après-midi, lors d'un match capital à Toulouse, il a marqué sur son seul tir dans les dix dernières minutes d'une rencontre qui semblait pourtant se refuser à lui. Son dix-huitième but cette saison, son onzième de la phase retour. Les onze ont même été inscrits lors des douze dernières journées.
Genesio : « Il est vraiment reboosté depuis janvier »
« Il est vraiment reboosté depuis janvier. Peu d'attaquants parviennent à réussir ce qu'il fait en ce moment », a récemment salué Bruno Genesio. Le nouvel entraîneur lyonnais n'est sans doute pas étranger à ce regain de forme. Les derniers mois de collaboration avec Hubert Fournier ont parfois été tendus quand l'international tricolore avait du mal à trouver le chemin des filets. Ses problèmes de dos sont derrière lui et depuis l'installation de Genesio sur le banc de l'OL, Lacazette n'a plus manqué un seul match. Sur le terrain, sa première partie de saison délicate avait été attribuée à l'absence de Nabil Fekir. Mais en réorganisant le onze lyonnais et en accordant sa confiance à Maxwell Cornet et Rachid Ghezzal, le nouvel entraineur des Gones a trouvé la solution idoine pour relancer son attaquant de pointe.
Une relation technique retrouvée avec Ferri, Tolisso et Ghezzal
« Actuellement, avec la vitesse et la percussion de Cornet et Ghezzal, il retrouve de la spontanéité. Il sait que ses deux partenaires vont le trouver dans l'axe et toujours avec une certaine vitesse, analysait Sidney Govousur le site Olympique-et-Lyonnais récemment. C'est cette vitesse qui change tout pour l'attaque lyonnaise depuis quelques semaines et qui fait de nouveau mal à ses adversaires. » Sur les dix-huit buts inscrits par Lacazette cette saison, Ferri, Tolisso et Ghezzal sont effectivement à la passe de façon quasi-automatique. Très décevant sur la phase aller lui aussi, le premier brille à nouveau sous les ordres de Bruno Genesio. Et sa relation technique avec Lacazette ne s'en trouve que renforcée.
Une histoire compliquée avec les Bleus
Pourtant, la présence du Guadeloupéen à l'Euro est loin d'être évidente. Pas appelé en équipe de France depuis le mois d'octobre et un match amical contre le Danemark, l'attaquant lyonnais n'a jamais eu une histoire facile avec les Bleus. Hormis une présence continue lors de la saison 2014-15, son aventure en sélection n'est pas linéaire. A peine dix sélections et un but. Un bilan bien maigre pour un joueur qui porte l'attaque de l'OL depuis deux saisons. « L'absence de Karim peut lui donner une chance supplémentaire pour retrouver l'équipe de France », a lâché Bruno Genesio la semaine dernière. Jean-Michel Aulas jugerait lui « terriblement injuste » une absence de son attaquant dans la liste des 23 le mois prochain. Car à mesure que Lacazette prend confiance, Olivier Girouds'enfonce dans le doute. Privé de but depuis le 13 janvier en Premier League, l'attaquant d'Arsenal ne fait pas l'unanimité auprès du public français.
Un duel avec Giroud... ou Gignac ?
Mais Didier Deschamps est pragmatique et cède rarement à la tentation. Difficile dans ce cas de figure de l'imaginer sortir Giroud de son groupe. Pour André-Pierre Gignac, c'est une autre histoire. Et c'est peut-être là que se situe la dernière carte à abattre pour Alexandre Lacazette. Ce qu'a bien compris Jean-Michel Aulas. Après la large victoire des Lyonnaises en demi-finale de la Ligue des Champions féminine dimanche, son président a fait la promotion de son attaquant en glissant un tacle à Gignac. « L'état d'esprit des Français qui jouent en France, et qui ont envie de démontrer sans être trop mercenaires trop tôt qu'on peut réussir dans une équipe de France qui joue l'Euro à domicile, peut être supérieur à l'opportunité de faire revenir d'Amérique du Sud ou d'ailleurs un certain nombre de joueurs. » Le lobbying pro-Lacazette a démarré entre Rhône et Saône. Mais le réveil est sans doute trop tardif.
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