segunda-feira, 19 de outubro de 2015

PSG, une masse salariale à 275 millions !

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Les revenus du Paris Saint-Germain augmentent sensiblement chaque année. La saison dernière, ils approchaient les 500 millions grâce notamment à des contrats commerciaux, aux droits TV et évidemment aux résultats. Mais cela a également un prix puisque le club, qui offre des salaires attractifs, paye de très grosses charges sociales.
Le projet du Paris Saint-Germain ne ressemble pas seulement à une simple addition payée par les actionnaires. Le développement des recettes est continu depuis le début du projet et ne semble pas devoir s’arrêter cette saison. C’est évidemment une nécessité pour répondre aux exigences du fair-play financier mais également un devoir pour que le PSG puisse jouer les premiers rôles sur la scène européenne.
La saison dernière, les revenus étaient, selon Le Parisien, de 484 millions d’euros. Tout proche d’une barre des 500 millions qui devrait être dépassée cette saison. Les contrats de sponsoring continuent d’être sans cesse revus à la hausse, comme les droits TV par exemple. Ils ont ainsi atteint la somme de 106 millions, grâce notamment au parcours en Ligue 1 (44 millions pour la saison 2013/2014) mais également à la présence du club en quarts de finale de la Ligue des champions.
De grosses différences avec les clubs étrangers
De même, les revenus de billetterie augmentent avec un stade qui fait systématiquement le plein. Les places VIP sont passées de 3000 à 4500 places, pour un ensemble qui a rapporté 77 millions d’euros. C’est loin des revenus commerciaux qui rapportent 300 millions.
Mais évidemment, pour attirer de grands joueurs et donc le public, et s’assurer de jouer les premiers rôles, il faut également payer de très gros salaires. Et donc les charges sociales qui vont avec ce qui n’est pas une mauvaise nouvelle pour les caisses de l’Etat. Toujours est-il que quand les charges patronales sont limitées à 140 000 euros en Espagne, le PSG paye 1 millions d’euros de charge pour un salaire de 3.3 millions brut annuels. Au total, selon Le Parisien, le PSG a donc payé 275 millions en salaire, charges comprises…


Domenech répond à Houllier et le tacle sévèrement

LE SCAN SPORT - Critiqué par Gérard Houllier dans son autobiographie, Raymond Domenech a répondu avec ironie à l'ancien sélectionneur des Bleus dans la chronique qu'il tient sur le Huffington Post.


Gérard Houllier et Raymond Domenech ne devraient pas partir ensemble en vacances cette année. Dans son autobiographie, Je ne marcherai jamais seul, le premier reproche à celui qui lui succèdera quelques années plus tard à la tête des Bleus un manque d'implication lors des éliminatoires du Mondial 1994. A la tête des Bleus éliminés de la course à la Coupe du monde après une défaite contre Israël puis face à la Bulgarie, Houllier qui s'est confié au Scan sport à ce sujet, reproche notamment à Domenech de ne pas lui avoir remis un rapport écrit sur le match Israël-Roumanie, qu'il était allé superviser.



Des reproches qui n'ont pas manqué de faire réagir Raymond Domenech: «Un constat s'impose: Dieu que tu as de la mémoire à moins que ce ne soit de la rancune tenace. Tu as raison Gérard -et tout le monde le sait: tu as toujours raison-, je suis responsable de cette défaite à domicile. Ce n'est pas toi, c'est moi, oui c'est moi qui ai mis à la mi-temps du match contre Israël alors que nous menions encore (2-1) les verres de champagne dans le vestiaire ainsi que les drapeaux américains pour fêter TA qualification au son de Joe Dassin «l'Amérique, l'Amérique». Je hais tellement l'Amérique que mon bonheur était à son zénith.»



Dans son élan et puisqu'il a «les épaules larges» comme il le dit, le sélectionneur de l'équipe de France entre 2004 et 2010 s'est ensuite attribué les défaites des Bleus lors des Mondiaux de 1958 et de 1982: «Tu l'avais sans doute oublié mais je suis aussi responsable de la défaite en demi-finale de la Coupe du Monde de 1958 de la France contre les Brésiliens (5 à 2). Bon j'avais 6 ans, mais j'aimais tellement le beau jeu à l'époque que j'ai dû prier très fort pour que les Bleus de Piantoni-Kopa-Fontaine perdent. C'est moi qui ai dit à Harald Schumacher de plomber Patrick Battiston en 1982 en demi-finale de coupe du Monde à Séville et à Didier Six et Maxime Bossis de manquer leur tir au but. J'aime tellement le foot allemand que je voulais voir nos amis d'outre-Rhin gagner. C'est évident!»



Une nouvelle pique sur les Coupes du monde de 1978 et 2002, sur l'élimination de l'OL en Ligue des champions contre l'AC Milan en 2006 et Domenech est ensuite revenu sur l'échec des Bleus en 1993, et la défaite très douloureuse face à la Bulgarie: «Enfin bien sûr, c'est moi qui ai poussé Kostadinov, lors de ce mémorable match contre la Bulgarie que tu dirigeais en 1993. J'ai hurlé: «tire-tire». Il l'a fait. Si bien que nous sommes restés en France pour la Coupe du Monde de 1994 aux Etats-Unis. J'aime tellement les vacances, que ce fût le bonheur parfait de ne pas être contraint de voir les Bleus la jouer.»

Enfin, celui qui a été jugé responsable du scandale de Knysna en 2010 conclut en disant: «Rassure toi mon Gégé , j'ai les épaules larges et je veux bien endosser mes défaites... et les tiennes avec, si cela te fait du bien et te permet de garder de toi cette image glorieuse qui te va si bien.» Ambiance…


BORDEAUX : SAGNOL ET TRIAUD POUSSENT UN COUP DE GUEULE


Hier après-midi, après un très bel hommage rendu à Dominique Dropsy, les Girondins affrontaient Montpellier pour enfin se lancer en championnat. Sans l’excuse de la fatigue liée à la Ligue Europa, les locaux ont pourtant livré un match à la limite du catastrophique. Une prestation que n’ont visiblement pas apprécié Willy Sagnol et Jean-Louis Triaud. 

« J’ai l’impression qu’on fait exprès de tout faire à l’envers. Les joueurs ne parlent-ils pas français ? C’est insupportable. » Hier après-midi, Jean-Louis Triaud n’était pas très heureux de la prestation des siens face à Montpellier. Pourtant minés par plusieurs blessures, les Héraultais sont parvenus à ramener un point, empêchant même les Girondins de faire trembler les filets.
Mais si l’adversaire a été valeureux, c’est avant tout l’attitude et le jeu des coéquipiers de Diabaté qui posent question. Amorphes pendant une grande partie du match, ils ont attendu la deuxième mi-temps pour cadrer leur première frappe et le réveil est venu d’Ounas, un jeune de 18 ans qui s’est donné bien plus que ses aînés. Actuellement à la 14ème place du classement, les Bordelais naviguent en eaux troubles et l’ont bien cherché selon leur entraîneur. « Avec un niveau technique aussi faible, on ne peut pas prétendre à mieux, c’est une évidence […] On doit nous aussi mettre du don de soi, de l’engagement, et ne pas attendre les vingt dernières minutes pour ça » a lancé Sagnol devant les médias.
S’il n’y a pas de solution miracle, le technicien des Girondins voudraient beaucoup plus d’implication de la part de ses cadres, bientôt dépassés dans la hiérarchie par les jeunes du club : « Si tous les joueurs montraient ne serait-ce que 20 % de la rage d’Enzo Crivelli quand il rentre, les résultats seraient différents« . Jean-Louis Triaud, en bon président, abonde dans le sens de son entraîneur : « Je ne comprends pas qu’ils n’arrivent pas à appliquer des consignes de base. Ceux qui ne le font pas iront sur le banc, quitte à perdre deux matchs d’affilée. Je préfère ça que vivre une saison merdique » a déclaré le taulier.
En attendant de trouver des solutions pérennes, les joueurs vont devoir montrer autre chose face à Sion ou encore Troyes pour ne pas connaître d’autres désillusions. Et pour éviter aux dirigeants de sortir de leurs gonds…


OL : Cette recrue de l’OL qui se sent «perdu»


Recruté contre 12M€ en provenance de Malaga, Sergi Darder a dû mal à s’imposer dans sa nouvelle équipe. Remplacé à la mi-temps du match à Monaco vendredi soir, le milieu de terrain espagnol est revenu sur sa prestation décevante. « Je me suis senti un peu perdu sur le terrain. Je ne savais pas très bien où me situer. Je suis dans une période d’adaptation. Je vais relever la tête car des matches très importants nous attendent », explique-t-il dans les colonnes du Progrès. 

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