terça-feira, 3 de novembro de 2015

Paris méritait tellement mieux...

 






Ultra-dominateur avant la pause, un peu moins après, le PSG, qui n'a pas réussi à marquer malgré un nombre incroyable d'occasions franches, s'est fait punir par le Real sur un but gag, mardi soir à Madrid (0-1). Le match au coup par coup.

Le coup dur

On joue depuis à peine un quart d’heure lorsque Marco Verratti se plaint d’une douleur à une cheville. Le petit Italien tente de serrer les dents et de rester sur la pelouse. Sans succès. Le métronome du milieu de terrain parisien doit céder sa place à Adrien Rabiot (17e). Un vrai coup dur.
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Le coupe de show

Vingt-cinq minutes. Vingt-cinq longues minutes en première période durant lesquelles le PSG étouffe et bouffe le Real. Pressing constant impulsé et maintenu collectivement, récupération haute et rapide, jeu instantané vers l’avant et combinaisons inspirées, le bloc parisien ne laisse ni répit ni possibilité de souffler à l’équipe merengue. Et se procure un paquet d’occasions qu’il ne parvient pas à concrétiser, par manque d’adresse (Cavani, 45e+4), de précision (Ibrahimovic, 22e et 29e), de puissance (Di Maria, 24e), de justesse (Cavani et Ibra trop courts sur un caviar de Maxwell, 40e), mais aussi de chance (Rabiot qui trouve le poteau après un somptueux enchaînement, 37e). L’efficacité, voilà ce qui a cruellement manqué à ce PSG si emballant et séduisant.

Le coup de bambou

Dominé de la tête et des épaules, le Real ouvre pourtant la marque sur sa première occasion, qui n’en est pas vraiment une. Des 25 mètres, Kroos tente une frappe déviée par Thiago Silva. Kevin Trapp lit mal la trajectoire du ballon et se trompe totalement dans sa sortie. Nacho Fernandez en profite pour pousser le cuir au fond du gauche (35e). Cruel…

Le coup de reins

Auteur d'un bon match dans l'ensemble, Angel Di Maria a réussi quelques gestes et mouvements de grande classe face à ses anciens partenaires. On pense notamment à cet enchaînement de feintes de corps qui a donné le tournis à Isco, qui en a même perdu l'équilibre. Jugez plutôt...

Le coup de show

Vingt-cinq minutes. Vingt-cinq longues minutes en première période durant lesquelles le PSG étouffe et bouffe le Real. Pressing constant impulsé et maintenu collectivement, récupération haute et rapide, jeu instantané vers l’avant et combinaisons inspirées, le bloc parisien ne laisse ni répit ni possibilité de souffler à l’équipe merengue. Et se procure un paquet d’occasions qu’il ne parvient pas à concrétiser, par manque d’adresse (Cavani, 45e+4), de précision (Ibrahimovic, 22e et 29e), de puissance (Di Maria, 24e), de justesse (Cavani et Ibra trop courts sur un caviar de Maxwell, 40e), mais aussi de chance (Rabiot qui trouve le poteau après un somptueux enchaînement, 37e). L’efficacité, voilà ce qui a cruellement manqué à ce PSG si emballant et séduisant.

Le coup de show

Vingt-cinq minutes. Vingt-cinq longues minutes en première période durant lesquelles le PSG étouffe et bouffe le Real. Pressing constant impulsé et maintenu collectivement, récupération haute et rapide, jeu instantané vers l’avant et combinaisons inspirées, le bloc parisien ne laisse ni répit ni possibilité de souffler à l’équipe merengue. Et se procure un paquet d’occasions qu’il ne parvient pas à concrétiser, par manque d’adresse (Cavani, 45e+4), de précision (Ibrahimovic, 22e et 29e), de puissance (Di Maria, 24e), de justesse (Cavani et Ibra trop courts sur un caviar de Maxwell, 40e), mais aussi de chance (Rabiot qui trouve le poteau après un somptueux enchaînement, 37e). L’efficacité, voilà ce qui a cruellement manqué à ce PSG si emballant et séduisant.

Le coup de bambou

Dominé de la tête et des épaules, le Real ouvre pourtant la marque sur sa première occasion, qui n’en est pas vraiment une. Des 25 mètres, Kroos tente une frappe déviée par Thiago Silva. Kevin Trapp lit mal la trajectoire du ballon et se trompe totalement dans sa sortie. Nacho Fernandez en profite pour pousser le cuir au fond du gauche (35e). Cruel…

Le coup de reins

Auteur d'un bon match dans l'ensemble, Angel Di Maria a réussi quelques gestes et mouvements de grande classe face à ses anciens partenaires. On pense notamment à cet enchaînement de feintes de corps qui a donné le tournis à Isco, qui en a même perdu l'équilibre. Jugez plutôt... de bambou

Dominé de la tête et des épaules, le Real ouvre pourtant la marque sur sa première occasion, qui n’en est pas vraiment une. Des 25 mètres, Kroos tente une frappe déviée par Thiago Silva. Kevin Trapp lit mal la trajectoire du ballon et se trompe totalement dans sa sortie. Nacho Fernandez en profite pour pousser le cuir au fond du gauche (35e). Cruel…

Le coup de reins

Auteur d'un bon match dans l'ensemble, Angel Di Maria a réussi quelques gestes et mouvements de grande classe face à ses anciens partenaires. On pense notamment à cet enchaînement de feintes de corps qui a donné le tournis à Isco, qui en a même perdu l'équilibre. Jugez plutôt...

Le contrecoup

«On a de l’ambition et on veut imposer notre jeu ici. Je pense qu’on a les moyens techniques, j’espère qu’on aura aussi les moyens physiques pour le faire. Car l’un sans l’autre ne suffira pas.» Le souhait formulé par Laurent Blanc en débarquant dans la capitale espagnole n’a pas été exaucé. En seconde période, le Paris Saint-Germain n’a eu ni les capacités ni les ressources de poursuivre sur le même rythme. Moins inspirés, moins conquérants, moins présents dans les duels, les Parisiens n’ont pas su donner un prolongement nécessaire à leur première période pour repartir de Madrid avec autre chose que des regrets.

Le coup de barres

Un peu moins dominateur après la pause, le PSG a tout de même eu les occasions pour égaliser. A lui seul, Di Maria a d'ailleurs touché du bois à deux reprises. D'abord sur un corner direct qui a trouvé le poteau de Navas (78e), puis sur un sublime coup franp direct qui s'est cette fois écrasé sur la barre du gardien adverse, battu (89e). Quand ça ne veut pas...

Le coup sûr : 0

Comme le nombre de but encaissé par le Real Madrid cette saison en quatre matches de Ligue des champions. Le PSG trompé par Nacho, la formation merengue est désormais la seule équipe à ne pas avoir concédé la moindre réalisation dans la compétition.

Le coup d'oeil de Jérôme Leroy : «C'est là qu'on voit les grandes équipes...»

«C’est là qu’on voit les grandes équipes... Paris a fait une première période quasi parfaite mais il leur a manqué un but, l’efficacité. Trapp, sur les images, son erreur est flagrante et il est certain qu’on retiendra plus ça que la bonne prestation du PSG. Se retrouver mené alors que le Real n’avait pas eu une seule occasion, c’est quand même frustrant. Mais je ne suis pas déçu. Le match du PSG est plus accompli qu’à l’aller. Et peut-être que cette défaite sera un mal pour un bien ensuite. Aujourd’hui, le PSG est une des meilleures équipes d’Europe. Cette année, on les sent encore plus forts. Mais s'il veut gagner la Ligue des champions, il faut revoir tout le front de l’attaque. À mon avis, ils ont besoin d’une ou deux pointures devant. On l’a encore vu face au Real. Pour franchir un cap, il faut plus de poids devant.»

MEILLEUR ET PLUS MAUVAIS JOUEUR

Meilleur joueur

Le choix de Goal





Á. di María

Á. di María



PSGPoste: Milieu

Flop du match

Le choix de Goal

Cristiano Ronaldo

Cristiano Ronaldo



Real MadridPoste: Attaquant

NOTES DES ÉQUIPES

Real Madrid





PSG

Remplaçants

Remplaçants




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