domingo, 1 de novembro de 2015

Troyes-OL 0-1, Lyon grimpe à la 2ème place


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Beauvue a inscrit un but capital pour la victoire de Lyon à Troyes.
12ème journée de L1
Troyes-Lyon 0-1
Lyon a lancé de manière idéale, sur le plan comptable, sa semaine compliquée à venir.
Vainqueur à Troyes, le vice-champion de France s'installe provisoirement à la seconde place de la L1 après une soirée source de polémiques.
En effet Troyes a été réduit à 10 dès la 36ème minute après le rouge de Jean avant de se voir siffler un penalty pour une faute litigieuse de Mavinga sur Lacazette. Beauvue l'a transformé à la 78ème minute. Le résultat ne changera pas, Lyon s'offre une victoire précieuse et peut se tourner vers son match capital face au Zenit en C1. 

Saint-Etienne-Reims (3-0), l'ASSE régale avant le derby



À une semaine de son derby contre l'OL, l'ASSE a sorti une prestation éblouissante contre Reims, matérialisée par un probant succès (3-0).
12e journée de Ligue 1
Saint-Etienne-Reims : 3-0
Buts : 
Beric (63e), Oniangue (68e csc), Eysseric (83e)
Corrigé par le PSG le week-end dernier au Parc des Princes, l'AS Saint-Etienne se devait ce samedi de se rassurer et rassurer ses supporters, une semaine avant d'aller défier son ennemi lyonnais à Gerland. La tâche en question a été accomplie et pas qu'à moitié. Opposés à Reims, les Verts ont produit une remarquable copie, surtout durant le deuxième acte de jeu qui les a vus littéralement exploser les Champenois. À chaque attaque ou presque, il y a eu une alerte sur les buts de Johnny Placide et trois de ses nombreuses tentatives ont fini au fond des filets. La victoire était belle et elle l'est d'autant plus qu'elle permet aux hommes de Christophe Galtier de remonter sur le podium de la Ligue 1.
Le festival stéphanois a débuté à la 63e minute lorsque Robert Beric est venu couper un joli centre de François Clerc. Le Slovène a délivré les siens, au moment où ces derniers se sont crus maudits après une frappe de Loic Perrin sur la transversale et un énorme sauvetage de Franck Signorino devant Vincent Pajot. Une fois l'avantage au score acquis, tout est devenu plus facile et la réussite a souri aux locaux, comme l'illustre le deuxième but, inscrit par Prince Oniangue contre son camp à la suite d'un coup franc d'Eysseric. L'ancien niçois eut ensuite l'honneur de clôturer la marque en convertissant une sublime passe en profondeur de Nolan Roux. Le bilan de la soirée des Verts est excellent et il aurait pu être parfait sans la sortie sur blessure de Kevin Monnet-Paquet. 

Rennes-PSG 0-1, le résumé



Le Paris Saint-Germain, avec une équipe largement remaniée, a signé un succès à Rennes (0-1) pour conforter son fauteuil de leader. Angel Di Maria a marqué.
Rennes-PSG : 0-1
But : 
Di Maria (75e)
A voir comment les Parisiens sont entrés dans la rencontre, on a très vite compris l’envie et la volonté des habituels remplaçants de l’équipe à tirer leurs épingles de jeu ce soir. On a par exemple très rarement vu un Lavezzi aussi en jambes dans la surface et actif sur le flanc de l’attaque. Lucas ne s’est posé aucune question dans sa conduite de balle alors que Stambouli et Rabiot furent très sereins dans la récupération et dans les transmissions contrairement à l’accoutumée. Désinhibés et libérés grâce à un contexte de la rencontre assez léger et une pression moindre sur les épaules, ils ont été assez séduisants dans le jeu et dans l’animation face à une équipe rennaise pourtant assez défensive. Le PSG a donc tout de suite donné le ton de la rencontre avec Di Maria, qui a sollicité Costil dans les buts sur un tir rasant du côté gauche, dévié par Mendes (1e). Lavezzi voyait quelques minutes après sa jolie frappe enroulée passer tout juste à côté du cadre (4e).  Même Maxwell a pu tenter sa chance de loin face à la passivité des Rennais, totalement inexistants en début de match, mais la frappe de Brésilien n’était pas assez puissante pour inquiéter le portier Breton.

Coaching gagnant de Laurent Blanc

Les assauts Parisiens étaient trop nombreux dans ce premier acte, et rien ne laissait présager une autre issue qu’une large déconvenue à ces Bretons. Mais à défaut de compter sur des joueurs audacieux et un système tactique intéressant, Phillippe Montanier peut se réjouir de compter dans ses buts un gardien de grand talent tel que Benoît Costil.  L’international français qui a repris les cages rennaises après deux mois d’absence pour cause de blessure, a dû sortir deux grands arrêts pour dévier en corner deux frappes excentrées de Lavezzi (18e) et Lucas (43e). Le public Rennais qui a battu ce soir le record d’affluence de Roazhon Park fut bien comptent de revoir Costil dans les buts mais il n’a pas été verni en termes des occasions Bretonnes. Le coup franc bien placé de Juan Quintero est passé largement au-dessus (24e), la frappe cadrée de Sylla fut trop tendre (28e) alors que la tentative de Doucouré passait largement au-dessus des buts de Trapp (38e). Les Bretons n’ont malgré tout jamais su inquiéter les Parisiens sur une longue durée et on sentait que ce n’est pas ce soir qu’ils retrouveront le goût de la victoire après plus de 2 mois et 7 matches sans succès (5 nuls et 2 défaites).
Rennes aurait pourtant pu s’appuyer sur quelques belles séquences de la fin de la première période pour aborder une seconde mi-temps avec plus d’idées et d’espoir, mais très vite le PSG a remis les pendules à l’heure. Maxwell et Van der Wiel ont fait beaucoup plus d’efforts sur les côtés pour apporter des solutions offensives supplémentaires. Matuidi a dû monter d’un cran pour participer plus vivement à la construction et essayer d’aider le trident Lavezzi, Lucas et Di Maria. Mais c’est surtout l’entrée conjuguée de Thiago Motta et Verratti qui a définitivement fait basculer la rencontre du côté des Parisiens. C’est une superbe ouverture de ce dernier qui a permis à Lucas à s’échapper sur le côté gauche avant de servir dans l’axe Di Maria. L’Argentin tenta une belle frappe croisée qui termina au fond des filets rennaises et qui permettait au PSG de prendre enfin un avantage (75e, 0-1). Ce fut largement mérité, au regard d’un visage plus conquérant proposé par les champions de France en seconde mi-temps même si mis à part une frappe enroulée de Lucas (62e), Costil n’a pas eu de réelles frayeurs sur les frappes de loin. Le portier rennais s’est surtout employer à couper les nombreux centres Parisiens des deux côtés vers l’axe.

Les Rennais ont fini par céder

Laurent Blanc a encore une fois réussi à optimiser les forces de l’équipe en faisant reposer la plupart des joueurs titulaires tout en assurant les trois points de la victoire grâce à une équipe bis très joueuse mais qui manquait un peu d’armes sur le plan offensif. Avec 32 points en 12 matches, le club francilien compte déjà 10 points d’avance sur son poursuivant angevin en attendant la suite de cette journée, et on se demande qui peut arrêter cette machine parisienne en Ligue 1. Rennes n’a représenté ce soir qu’une proie supplémentaire pour le triple champion de France. Mais au vu du scénario de la rencontre de ce soir les Bretons auront quand même droit d’éprouver quelques regrets. Ils ont tenu plus de 75 minutes avant de céder face aux Parisiens, la méthode ne fut pas trop emballante, la manière non plus, mais sans l’inspiration de Verratti à un quart d’heure de la fin les coéquipiers de Sylvain Armand n’auraient pas quitté le stade bredouilles. D’autant plus que Pedro  Henrique s’est distingué par deux belles frappes après sa rentrée en seconde période (85e, 91e). Malgré cette triste série qui s’étire, Rennes reste pointé à une encourageante 7ème place au classement pour le moment.


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