segunda-feira, 26 de outubro de 2015

Bordeaux, Sagnol : "il y a du soulagement"

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L'entraineur bordelais Willy Sagnol a reconnu que le succès face à Troyes, bien qu'étriqué, fait beaucoup de bien à lui et ses joueurs.

Suite à une mauvaise série de résultats, Bordeaux a repris des couleurs ce dimanche en faisant le plein de points contre Troyes à domicile. Lors de ce match, les Girondins n'ont absolument pas convaincu au niveau du jeu, mais pour leur coach Willy Sagnol l'essentiel était indiscutablement ailleurs. "Il y a du soulagement, quand il y a des dynamiques négatives qui s'installent, c'est toujours difficile de s'en sortir, a déclaré en conférence de presse l'ancien sélectionneur des Espoirs. Ce soir, il y a une chose qu'on ne peut pas enlever à cette équipe, c'est qu'elle s'est battue. Techniquement de manière brouillonne mais les joueurs ont essayé d'aller au bout de ce qu'ils pouvaient faire aujourd'hui".


Bordeaux-Sagnol: "Le minimum vital"

Incapable de gagner le moindre match depuis neuf rencontres, Bordeaux a profité de la visite de la lanterne rouge en Gironde pour renouer avec la victoire. Face à Troyes, les hommes de Willy Sagnol se sont néanmoins contentés du minimum avec un succès 1-0. Ce que l’entraîneur bordelais reconnaissait d’ailleurs sans peine à l’issue de la rencontre.
"Il y a du soulagement ce soir parce que dans le football, quand il y a des dynamiques négatives, c’est toujours difficile de s’en sortir. Ce soir, nous avons été un peu trop brouillons, a ainsi expliqué l’ancien international tricolore dans des propos relayés par le site du club. Nous ne sommes ni sur la bonne ou mauvaise voie, nous continuons de travailler. A part le match de Montpellier, je n’ai pas vu mon équipe baisser les bras. Nous étions en manque d’efficacité offensive et défensive. Ce soir, nous avons réalisé le minimum vital."
Et le technicien girondin de louer les mérites du buteur, le jeune Adam Ounas."Quand on fait rentrer Adam Ounas, on espère toujours qu’il fasse beaucoup du bien. C’est logique que, si un changement doit être fait pour apporter du dynamisme, c’est le joueur qui me vient en tête. Il a beaucoup de fraicheur, il n’a pas d’arrière-pensée. Techniquement, il est au point. Dans les étages inférieurs, il a été question de son engagement. Avec nous, il est irréprochable."

Monaco, grand voyageur


Vainqueur (1-0) à l’occasion de son déplacement à Reims lors de la 11e journée de Ligue 1, Monaco a confirmé ses bonnes dispositions à l’extérieur. En six matches disputés loin de leurs bases, les hommes de Leonardo Jardim sont en effet toujours invaincus et affichent désormais quatre victoires et deux matches nuls. Seul le PSG fait mieux avec cinq succès et un nul.
Mais si le PSG se montre tout autant à l’aise à domicile, Monaco éprouve bien plus de difficultés au Stade Louis II. A tel point que les Monégasques n’y ont pas remporté le moindre match avec trois nuls et deux défaites en cinq rencontres, ce qui en fait l’équipe la moins performante de l’élite avec Troyes.




INSOLITE

Cinq quintuplés qu'on n'oubliera pas de sitôt

Il y a un an tout pile, Carlos Eduardo scorait un incroyable quintuplé à Guingamp lors de la victoire fleuve de Nice (7-2). Pour l'occasion FF s'est remémoré ces manitas de joueurs les plus marquantes.
Oleg Salenko, Russie-Cameroun (6-1), Coupe du monde 1994
Le grand jour du natif de Saint-Pétersbourg. En ce caniculaire 28 juin 1994, sur la pelouse du Pontiac Silverdome à San Francisco, l’attaquant russe entre dans l’histoire du football. Oleg Salenko inscrit le premier quintuplé de l’histoire de la Coupe du monde. Les Camerounais en font encore des cauchemars. 
Robert Lewandowski, Bayern Munich-Wolfsburg (5-1), Championnat d’Allemagne 2015-16
Nous n’avons pas forcément encore le recul nécessaire seulement un mois après cet exploit. Mais nous pourrons certainement dire dans le futur : «Oui, j’ai vu un mec marquer cinq buts en seulement neuf minutes !». Incroyable quintuplé que celui de Lewandowski... L’attaquant polonais, dans une incroyable verve, a pilonné la défense de Wolfsburg en moins de 10 minutes. L’affaire est dans le sac.
Lionel Messi, Barça-Leverkusen (7-1), Ligue des champions 2011-2012
Des lobs, des arabesques, des frappes sèches… Bernd Leno a de quoi péter un plomb lors de ce huitième de finale de «la coupe aux grandes oreilles». Le solide portier allemand craque et Messi se régale. L’as de Rosario plante cinq banderilles saignantes dans le dos d’un Bayer Leverkusen désabusé... Le premier quintuplé de l’histoire de la C1. 
Luiz Adriano, BATE Borisov-Chakhtior Donetsk (0-7), Ligue des champions 2013-2014
Un Brésilien répond à un Argentin. Certes dans un match de poules cette fois-ci, face à un adversaire d’un tout autre acabit que les Allemands du Bayer. Mais tout de même, en Ligue des champions… Ça n’arrive pas tous les jours. Luiz Adriano a martyrisé la défense biélorusse avec des mouvements offensifs de grande qualité pour les joueurs de Mircea Lucescu.
Dimitar Berbatov, Manchester United-Blackburn (7-1), Championnat d’Angleterre 2010-2011
Quand la nonchalance devient un art… Dimitar Berbatov fait tourner en bourrique les malheureux défenseurs des Blackburn Rovers. Cinq buts du pied droit et une paume de la main bien ouverte vers les cieux d’Old Trafford pour exprimer sa joie. La classe.

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