segunda-feira, 26 de outubro de 2015

Le onze type des quatre grands Championnats

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Voici l'équipe-type du week-end des quatre grands Championnats européens (Bundesliga, Liga, Premier League, Serie A). La formation est disposée en un 4-1-4-1 hyper offensif.

Gardien

Keylor Navas (Real Madrid)
Le gardien qui ne devait pas rester à Madrid (Navas était destiné à MU dans le cadre du passage, finalement avorté, de De Gea au Real) se révèle plus qu’un choix par défaut. A Vigo, le Costaricain a sauvé les meubles en première période sur Orellana, Aspas et Hernandez, puis a ensuite fait bonne garde face à Nolito. C’est en grande partie grâce à Keylor que le Real a battu (3-1) le Celta, jusque là co-leader avec les Merengues.

Défenseurs

Alessandro Florenzi (AS Roma)
Maître de son couloir face à la Fiorentina, il n’a pas arrêté de pilonner les bases toscanes, se trouvant même à l’origine du but de Gervinho. Le 2-1 de la Roma à Florence offre la première place de Serie A aux Giallorossi.
Andreas Christensen (Mönchengladbach)
Le défenseur central danois permet au Borussia de revenir à la hauteur de Schalke juste avant la pause. Lui et Jantschke fermeront ensuite la boutique, laissant le duo Raffael-Korb finir le travail et assurer à Mönchengladbach sa cinquième victoire de rang en Bundesliga (3-1).
Nicolas Otamendi (Manchester City)
L’Argentin a mis du temps pour se voir préférer à Mangala. Sa prestation d’excellence dans le derby mancunien d’Old Trafford (0-0) devrait convaincre Pellegrini de ne plus le renvoyer sur le banc. 
Senad Lulic (Lazio)
Un but, un autre manqué de peu, une passe décisive à Felipe Melo et une bonne garde sur Bruno Peres, le "Speedy Gonzalez" du Toro. Le 3-0 sur les Granata permet à la Lazio de rejoindre, avec Naples, la Fiorentina et l’Inter à la deuxième place du Championnat italien. 

Milieu défensif

Ever Banega (FC Séville)
L'Argentin est le pilier de l'entrejeu andalou. (Reuters)
L'Argentin est le pilier de l'entrejeu andalou. (Reuters)
Une passe décisive à Gameiro, un but sur penalty et surtout une activité monstre dans l’entrejeu. L’Argentin a étouffé à lui seul le milieu de Getafe (5-0). 

Milieux offensifs

Gervinho (AS Roma)
Il n’a cessé de semer la panique par ses accélérations dans le cœur du dispositif viola. Son but, le second de la Roma a, de fait, tué tous les espoirs de la Fiorentina (victoire 2-1 pour les Giallorossi). 
Arjen Robben (Bayern Munich)
Le Néerlandais ne pouvait espérer meilleur retour : c’est lui qui ouvre la marque face à Cologne, après deux mois d’absence, le jour du 1000e succès en Bundesliga (4-0 pour le Bayern). 
Pierre-Emerick Aubameyang (Dortmund)
Le Gabonais marche littéralement sur l'eau en ce moment ! (Reuters)
Le Gabonais marche littéralement sur l'eau en ce moment ! (Reuters)
Auteur d’un triplé en Ligue Europa jeudi dernier, l’international gabonais se répète en Bundesliga, trois jours plus tard, enfonçant une équipe d’Augsburg (5-1) jamais dans le match. Aubameyang a atteint la barre des 20 buts pour le Borussia en ce début de saison.
Shinji Kagawa (Dortmund)
Deux passes décisives à Reus et une autre à Aubameyang à l’occasion du 5-1 face à Augsburg. Le Japonais n’a pas tenu en place une seconde, destabilisant la défense de coach Weinzierl.

Attaquant

Kevin Gameiro (FC Séville)
Deux buts pleins d’opportunisme, un penalty provoqué et un autre transformé : l’attaquant français n’a eu aucune pitié pour une équipe de Getafe dépassée par les évènements (5-0). Il s’agit de son premier triplé avec Séville.


LIGUE 1

L'équipe type de la 11e journée

Un meneur de jeu au top, deux Nantais, un Marseillais, un Gazier... Cette semaine, le onze type du Championnat de France se déploie en 4-2-3-1.
RIOU
CORCHIA
TOURÉ
MOIMBÉ
UMTITI
DUCOURTIOUX
VERRATTI
VALBUENA
ALESSANDRINI
IBRAHIMOVIC
SILVA

Les notes

Rémy Riou (Nantes) : 7*
Sébastien Corchia (Lille) : 7*
Zargo Touré (Lorient) : 7*
Samuel Umtiti (Lyon) : 7*
Wilfried Moimbé (Nantes) : 7*
Marco Verratti (Paris) : 7*
David Ducourtioux (Gazélec) : 7*
Romain Alessandrini (Marseille) : 7*
Mathieu Valbuena (Lyon) : 8*
Bernardo Silva (Monaco) : 7*
Zlatan Ibrahimovic (Paris) : 7*

Le zoom : Valbuena a pris les clés du camion

Il a repris ses bonnes vieilles habitudes. Un petit penchement vers l’avant suivi d’une frappe de l’intérieur du pied droit qui vient mourir dans les filets adverses. Du classique. Mathieu Valbuena s’est enfin libéré en inscrivant son premier but cette saison depuis son retour en Ligue 1 sous les couleurs de l’Olympique Lyonnais. En plus de cette jolie réalisation, l’ancien Moscovite a fait jouer à merveille ses coéquipiers en délivrant une passe décisive à Sergi Darder pour l’ouverture du score de l’OL face au TFC vendredi. Valbuena a donné le tournis à l’axe défensif haut-garonnais. Souvent disponible entre les lignes, le Girondin de naissance a pris à bras-le-corps son rôle de leader technique des Gones. Avec maestria, il a su servir ses partenaires dans le bon tempo et s’est enfin montré décisif. Ce qui lui manquait depuis son arrivée mouvementée à l’OL. 
    
Après les coups, enfin les applaudissements
Valbuena n’a pas reçu beaucoup de cadeaux depuis son arrivée sur les bords du Rhône. Au départ, Gerland lui réserve un accueil mitigé pour celui qui est encore estampillé 100% Marseille. Tout cela s’est vite décanté au vu de son implication totale et de son utilité croissante dans le 4-4-2 en diamant d’Hubert Fournier. «Petit Vélo» a aussi dû faire face à l’enfer du Vélodrome qui ne lui a pas pardonné sa signature pour le club de Jean-Michel Aulas ainsi qu’à des pépins judiciaires dans l’histoire de sa présumée sextape. Mais le bonhomme est costaud et a encaissé les coups sans sourciller, tout en gardant son cap. Sa belle partition face à Toulouse laisse augurer de doux espoirs pour l’OL. Les supporters des Gones ne s'y sont d’ailleurs pas trompés. A l’unisson, ils se sont levés pour acclamer le numéro 19 de leur club chéri. Sûr que Valbuena a dû savourer ce petit moment d’accalmie bien mérité.  

Zlatan: "Je ne parle pas français"





Au centre des critiques après sa prestation face au Real Madrid, Zlatan Ibrahimovic les a balayés d’un revers de main à l’issue de la victoire contre les Verts, expliquant ne pas comprendre la langue de Molière…
Plus que tout autre secteur, c’est surtout l’attaque parisienne, inoffensive, qui a été montrée du doigt après le match nul face au Real Madrid en Ligue des champions (0-0). Pataude, pas inspirée et incapable de se procurer des occasions, l’escouade emmenée par Zlatan Ibrahimovic, et le Suédois en particulier, a dû avoir les oreilles qui sifflent depuis mercredi.
Mais à écouter Ibra, interrogé en italien à l’issue de la large victoire face à Saint-Etienne (4-1), où il a marqué et délivré une passe décisive à un Edinson Cavani avec qui il a affiché une inédite – et rare – complicité, ces critiques ne l’ont absolument pas touché… puisqu’il ne les aurait ni lues, ni entendues ! "Tu dis que tout se passe très bien, mais qu’as-tu pensé de ce qu’ont dit les médias français ?", lui a ainsi demandé le journaliste Alessandro Grandesso dans les entrailles du Parc des Princes.
"Le problème, c’est que je ne parle pas le français", a alors répondu, tout en ironie, l’ancien Milanais, expliquant ensuite ne pas "voir l’intérêt" de s’intéresser à ces critiques. Une langue qu’il semblait pourtant maîtriser lorsqu’il s’était agi de vanter les mérites d’un jeu vidéo…



Marseille, "ce n'est qu'un début !"



L'heure était au soulagement, côté marseillais, après le succès ramené dimanche de Lille (1-2) pour le compte de la 11e journée de Ligue 1. Mais les joueurs olympiens voulaient déjà voir plus loin.
Plus d’un mois qu'ils attendaient ça! Trente-huit jours depuis leur succès face à Groningen, en Ligue Europa, que les Marseillais n'avaient plus goûté à la victoire, enchaînant pas moins de quatre défaites et trois matches nuls. Aussi, après avoir tremblé jusque dans les derniers instants de la rencontre, sur la pelouse du Stade Pierre-Mauroy, après la réduction du score de Corchia, les Phocéens n'ont pas manqué de savourer le succès ramené du Nord.

"On va savourer cette victoire car ce fut dur, a ainsi affirmé Rémy Cabella au micro d'OMtv. On a fait preuve d'un excellent état d'esprit et c'est ce qu'il nous manquait ces derniers temps. On va passer une bonne semaine pour ensuite enchaîner sur un nouveau déplacement à Nantes. Maintenant, il faut enchaîner plusieurs victoires."

Un constat partagé par Romain Alessandrini, particulièrement en vue et auteur du deuxième but sur une magnifique frappe en lucarne. "C'est une grande victoire. On était dans l'urgence et ill fallait prendre des points, appréciait l'ancien Rennais au micro de beIN Sports. On a prouvé que l'on pouvait être solidaire et costaud. On a marqué et des buts et gagné ce match : c'est un grand soulagement. Mais ce n'est que le début ! Ça faisait quelques semaines que l'on parlait beaucoup mais que l'on agissait peu. Cette fois, on a bien réagi ! Maintenant il faudra encore gagner à l'extérieur lors de la prochaine rencontre à Nantes."
Michel, lui, ne voulait pas voir aussi loin. "Laissez-moi savourer !, a lancé l’entraîneur marseillais en conférence de presse. Samedi, à la veille du match, en conférence de presse, j’avais dit que je voulais voir des hommes. J’ai vu des joueurs fantastiques, je suis très content d’eux. Je suis vraiment ravi de notre performance. Nous avons bien joué, et il faudrait qu’on le fasse tout le temps de cette manière. C’est une victoire très importante. "

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