OFFICIEL, Ben Arfa signe à Nice !
Hatem Ben Arfa s'est officiellement engagé avec l'OGC Nice.
Libéré par Newcastle l’hiver dernier, Hatem Ben Arfa va enfin pouvoir jouer pour l'OGC Nice. Rappelez-vous, Son transfert lors du dernier mercato hivernal avait été annulé car il avait déjà joué pour deux clubs (Hull City et un match amical avec la réserve de Newcastle. La LFP avait alors empêché la finalisation de ce transfert, jugeant le port d'un troisième maillot illégal.
L’ancien international français avait alors déclaré que « ce n’était peut-être qu’un au revoir ».... et il avait raison. Il va désormais pouvoir porter le maillot du Gym pour le plus grand plaisir des supporters qui l'avaient accueilli en masse.
Ben Arfa est pétri de talent
Malgré des offres de l'étranger, le joueur de 28 ans a donc préféré patienter et s'engager officiellement avec Nice dès l'ouverture du mercato estival. « C'est un pari pour nous comme pour lui. On fait régulièrement référence à son passé, mais j'ai surtout rencontré un garçon avec du caractère et avec une parole. On ne l'attend pas comme un messie mais comme un élément qui va s'intégrer à notre collectif. Après une période sans jouer, ce sera compliqué pour lui. Mais il est pétri de talent, et on va tout faire pour qu'il puisse l'exprimer chez nous », a expliqué Jean-Pierre Rivère lundi soir sur RMC.
Puel avait déjeuné avec Ben Arfa
Claude Puel, le coach niçois, avait de son côté récemment déclaré. "Après cette injustice, nous avions déjeuné ensemble. Et je lui avais alors dit que nous essayerions de faire en sorte que l’histoire soit belle à la fin. J’avais l’intime conviction que cela pouvait se produire. Nous nous sommes revus par la suite. Il avait alors de très belles offres. Toutes portaient sur un engagement d’un an et demi. C’était compliqué de ne pas céder aux sirènes. Et pourtant, je restais convaincu qu’il allait surprendre tout le monde, et venir chez nous, même si notre proposition n’avait rien à voir avec ce qu’on lui proposait à côté".
Le site officiel du Gym annonce également qu'un accord de principe a été trouvé pour la venue du milieu ivoirien Jean-Michael Seri.
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Bielsa a voulu se battre avec son traducteur
Ecarté pendant un mois en début de saison de ses fonctions de traducteur de Marcelo Bielsa, Fabrice Olszewski a révélé ce week-end qu'au départ, l'entraîneur de l'OM lui avait proposé de régler ça en se battant dans les bois. Surréaliste.
On en apprend chaque jour un peu plus sur le bouillant Marcelo Bielsa. Surtout depuis que Fabrice Olszewski, son fidèle traducteur, a décidé de ne pas renouveler l’aventure une saison de plus. Ce week-end, le bénévole depuis douze ans pour le Tournoi de Toulon est revenu en marge du succès des Bleuets dans l’épreuve sur le traitement que lui avait réservé « El Loco » pendant cette saison passée aux côtés de l’entraîneur argentin de 59 ans. Olszewski a notamment évoqué sa mise à l’écart en août dernier pour avoir repris Bielsa devant tout le groupe après que le coach marseillais a passé ses nerfs sur un jeune du club. Ce qui n’avait pas du tout plu au longiligne traducteur au catogan et à la casquette vissée en permanence sur le crâne.
Quand Bielsa propose un règlement de comptes dans les bois
Dans Libération, l’intéressé révèle qu’à l’origine, Bielsa ne souhaitait pas l’écarter pendant un mois, mais en découdre avec lui. Après ce début d’altercation dans le vestiaire, l’Argentin avait ainsi proposé sur le champ à son traducteur de se battre avec lui dans les bois afin de régler le différend définitivement. L’une des nombreuses raisons pour lesquelles Fabrice Olszewski, devenu très célèbre à Marseille, a décidé de passer la main à l’issue du championnat. « Au bout de quelques mois, j’ai décidé qu’un an à l’OM suffirait. Ce n’était pas facile. J’ai quand même été interdit de vestiaire un temps, interdit d’infirmerie. C’était tout le temps la faute du traducteur (…) Le milieu du foot, très peu pour moi. »
Le traducteur de Bielsa n’en pouvait plus de cette soudaine célébrité
Le traducteur maladroit de Bielsa va quitter le tumulte marseillais pour retrouver la ville de Santiago (Chili), où vivent sa femme et sa fille. Pour son plus grand bonheur. «Je n’ai jamais compris toute cette folie. Aller acheter des clopes me prenait une demi-heure, les fans de l’OM me sautaient dessus. Idem au restaurant. Et les sorties en boîte de nuit, je ne vous en parle même pas… Les nanas qui ne te calculent jamais se mettent soudainement à t’accoster. Il y avait un truc qui clochait, je n’étais que le traducteur. » Mais surtout le souffre-douleur de Marcelo Bielsa. A défaut d’avoir accepté un jour d’en être son punching-ball.
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Le PSG doit-il déjà tourner la page Ibrahimovic ?
Moins influent cette saison que les précédentes, notamment en raison de pépins physiques, Zlatan Ibrahimovic a encore un an de contrat au PSG. Reste à savoir si le PSG a intérêt à le conserver…
«Régénérer le groupe». Tel sera l’objectif du PSG lors du mercato, qui s’ouvre ce mardi. C’est ce qu’avait déclaré Laurent Blanc il y a quelques jours, sur BeIN Sports. Les recruteurs franciliens auront notamment pour objectif de renforcer le secteur offensif, dans les limites du fair-play financier. Pour l’heure, seul le départ de Zoumana Camara (à la retraite) est acté. Ceux d’Ezequiel Lavezzi et Gregory van der Wiel, libres en 2016, sont très possibles. En manque de temps de jeu, Yohan Cabaye et Lucas Digne pourraient être tentés d’aller voir ailleurs. Edinson Cavani aussi, pour retrouver une place dans l’axe notamment.
Reste le cas Zlatan Ibrahimovic. Le PSG doit-il se séparer de sa plus grande star, l’intéressé étant moins influent, plus souvent blessé et toujours aussi cher ? Rappelons qu’«Ibra» aura 34 ans en octobre prochain et qu’il ne lui reste plus qu’un an de contrat. D’après certaines sources, l’AC Milan ferait des pieds et des mains pour le rapatrier à San Siro. Des hypothèses plus exotiques (MLS, Turquie…) ont également été évoquées mais Nasser Al-Khelaïfi et Mino Raiola, son agent, affirment en cœur qu’aucun départ, vers la Lombardie ou ailleurs, n’est à l’ordre du jour. Info ou intox ? La rédaction se pose en tout cas la question.
Oui, Paris doit tourner la page Ibrahimovic
- Garder Cavani et responsabiliser les jeunes : «Ibra» ou Edinson Cavani ? Selon certaines sources, le PSG devra choisir entre les deux, l’Uruguayen n’ayant pas envie de continuer à évoluer dans l’ombre du Suédois. Si tel était le cas, choisir «Ibra» serait un pari à court terme, sachant qu’il serait compliqué et onéreux de trouver un attaquant du calibre de Cavani dans un an. Et ce même si l’ex-Napolitain n’est pas toujours apparu sous son meilleur jour en Rouge et Bleu… En lui donnant les clefs, les patrons du PSG retrouveraient peut-être le buteur qui terrorisait la Serie A, celui qui leur a coûté 64M€. Dans le même ordre d’idée, laisser filer «Ibra» offrirait plus de liberté à Javier Pastore dans l’organisation du jeu.
- Eviter l’année de trop : Ibrahimovic a semblé tourner au ralenti cette saison. Lent dans ces déplacements, pas forcément impliqué dans le replacement, rapidement agacé… D’ailleurs, le PSG n’a pu compter sur lui que quatre fois lors des neuf dernières journées de L1 (suspension et blessures). Ça n’a pas empêché les Parisiens d’aligner neuf victoires consécutives. Le Suédois ne rajeunit pas et pourrait faire l’année de trop en 2015-16. Laurent Blanc pourrait-il le reléguer sur le banc au fil de la saison, si d’aventure ce déclin se confirmait ? «Ibra» ne ferait-il pas exploser le vestiaire ? Ne faut-il pas anticiper dès maintenant ?
- «Pays de merde», l’écart de trop : «J’aime la France», avait déclaré le natif de Malmö devant le public du Parc des Princes, lors de la cérémonie de remise du trophée de champion de France. Assez pour faire oublier ses remarques désobligeantes, un soir de Bordeaux-PSG ? D’après certaines sources, la direction qatarie, très concernée par l’image du PSG, n’avait que moyennement apprécié cet écart, qui n’était pas le premier… QSI pourrait donc voir d’un bon œil le départ de la star, des joueurs comme Javier Pastore, Edinson Cavani, David Luiz et autre Thiago Silva étant, tous, plus exemplaires dans ce domaine.
Non, Paris doit conserver Ibrahimovic
- 30 buts en 37 matches : Oui, Zlatan Ibrahimovic a été moins bon cette saison que les précédentes. Notamment à cause des blessures. Mais les statistiques affichées par le Suédois restent éloquentes : 30 buts en 37 matches, toutes compétitions confondues ! L’intéressé avait inscrit 41 buts en 46 matches l’an dernier et 35 en 46 rencontres en 2012-13. Son jeu basé sur la technique est, a priori, de nature à lui permettre de s’adapter à mesure que ses capacité physiques diminueront. Sa classe, sa vista ne vont pas s’envoler. Ibrahimovic reste, aujourd’hui, l’un des meilleurs du monde et il peut porter un club jusqu’aux sommets.
- C’est la plus grande star de L1 : Certes, les coups de gueule et les comportements de diva d’«Ibra» peuvent agacer, irriter, gêner. Mais il reste sans doute le meilleur produit d’appel de la L1, la plus grande star de la France du football, la figure de proue du PSG sur le plan marketing. Un argument de poids en sa faveur. Si c’est parfois en mal, il fait toujours parler du club parisien et du championnat.
- Le fair-play financier : Comment remplacer Ibrahimovic avec le carcan du fair-play financier ? A priori, les sanctions qui freinent le PSG devraient être allégées cet été. Quoique, rien n’est sûr. En revanche, on sait que le club de la capitale retrouvera tout ou partie de ses largesses en termes de recrutement l’année prochaine. S’il convient de régénérer le groupe, il n’y a donc pas d’urgence à pousser «Ibra» vers la sortie. Même si le salaire de ce dernier (15M€/an ?) plombe forcément un peu les finances du club. Une chose est certaine : Paris ne trouvera pas un joueur de son calibre avec le FPF sur le dos. Autant attendre un an…
Pour Lyon, «Gourcuff n’a jamais été blessé cette saison»
Dans les colonnes de La Voix du Nord, Alexandre Marles, directeur de la performance à l’Olympique lyonnais confirme que les problèmes rencontrés par Yoann Gourcuff sont plus d’ordre mental que physique.
Ce n’est un secret pour personne. Yoann Gourcuff est un joueur qui s’écoute beaucoup. Trop même. Cette scène surréaliste d’un joueur quittant le terrain le 21 mars dernier contre Nice sans un mot pour ses coéquipiers et le staff médical, sans un regard pour son banc, est encore dans toutes les mémoires.
En cinq saisons cauchemardesques à Lyon, le milieu de terrain français a passé le plus clair de son temps à l’infirmerie ou aux soins. Parfois pour d’obscures raisons. C’est ce que révèle le directeur de la performance à l’Olympiques lyonnais, arrivé l’été dernier sur les bords du Rhône en provenance du PSG. Dans les colonnes de La Voix du Nord, Alexandre Marles est catégorique : «Cette saison, si Yoann avait des mauvaises sensations, des douleurs, depuis septembre, il n’a jamais été blessé. Il traînait un problème à la cheville depuis la saison dernière, mais en septembre, ça avait disparu».
En d’autres termes, si Gourcuff n’a participé qu’à 17 rencontres de Ligue 1 cette saison avec Lyon, dont 8 dans la peau d’un titulaire, ce n’est pas forcément en raison d’un physique si fragile. Mais bien à cause d’une certaine appréhension, d’une propension à se surprotéger et d’une «capacité de résistance à la douleur» trop faible. «Quand un joueur pro a accumulé les blessures, dès qu’il ressent une douleur, il a la peur de la rechute», précise Marles, déçu de ne pas avoir réussi à remettre sur pied le numéro 8 lyonnais : «C’est forcément un échec, même si les raisons sont parfois extra-sportives.»
Des propos qui font écho à ceux formulés par Hubert Fournier dans le magazine Planète Lyon. Si le coach de l’OL regrette que Gourcuff n’ait pas eu l’occasion d’exprimer pleinement son potentiel en raison de nombreuses coupures, il n’en demeure pas moins acerbe au moment d’évoquer le manque de dialogue avec l’ancien Bordelais : «Si j’en ai discuté avec lui ? Ce n’est pas facile… Déjà, parce qu’il ne se livre pas beaucoup mais je pense qu’il faudrait faire une étude psychologique le concernant…» Et Marles de conclure, sur une note loin d’être optimiste et positive : «Ça reste un très bon joueur. Mais je pense qu’il est parasité par des personnes qui essaient de se l’accaparer.»
OM-Juve en amical
L'Olympique de Marseille recevra le finaliste malheureux de la dernière Ligue des Champions, la Juventus Turin, une semaine avant la reprise de la Ligue 1 a annoncé le club marseillais lundi. «La deuxième édition du Trophée Robert Louis-Dreyfus (la première avait opposé l'OM au club espagnol de Valence le 1eraoût 2010) sera l'occasion d'un match de gala au stade Vélodrome le samedi 1er août 2015 à 21 heures», précise le club phocéen sur son site internet. La Juve est quadruple tenante du titre en Serie A.
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