Monaco: Les équipements dévoilés

Peu après la présentation officielle des nouveaux maillots de Lille, l'AS Monacolève le voile ce mercredi sur les tuniques qui seront portées par les joueurs du Rocher la saison prochaine. 

"La nouvelle tenue à domicile de l'AS Monaco pour 2015-16 rend hommage au prestige et à l'élégance que l'on associe à la fois au club et à la Principauté", peut-on lire sur le site officiel des Rouge et Blanc. 

L'Inter Milan revient à la charge pour Imbula

En marge des négociations sur le transfert de Dimitri Payet à West Ham, l'OM continue d'avancer sur le dossier Giannelli Imbula. L'Inter Milan vient de proposer un nouveau prêt avec option d'achat à 18 millions d'euros. De quoi accélérer les futures arrivées de N'golo Kanté, Karim Rekik et Lucas Ocampos.

L’OM est bien le club français le plus actif sur le marché des transferts. Après l’annonce d’un accord sur la vente de Dimitri Payet à West Ham moyennant une indemnité de transfert de 15 millions d’euros et un contrat de cinq ans (+ une année supplémentaire en option), le club phocéen vient de se faire relancer par l’Inter Milan sur le dossier Giannelli Imbula. Le club italien a proposé un prêt avec option d’achat obligatoire de 18 millions d’euros. Pas vraiment la formule souhaitée par les dirigeants olympiens ou la destination souhaitée par le joueur qui privilégie la Liga et le FC Valence. Mais les Lombards insistent et l’OM a encore besoin de vendre après les pertes engendrées par la non-qualification à la Ligue des Champions et le départ, libre, de joueurs à fort potentiel marchand (A.Ayew et Gignac). 

Dans l’autre sens, Marseille va pouvoir passer à la vitesse supérieure pour recruter N'Golo Kanté (Caen), Karim Rekik (Manchester City) et Lucas Ocampos (Monaco) que Marcelo Bielsa veut absolument dans son effectif pour la saison 2015-16. Bref, tout devrait s’activer dans les jours qui suivent car l’Inter Milan pourrait perdre patience face à l’attentisme marseillais. Mais l'optimisme est visiblement de mise ce mercredi soir. 

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Marseille : L'agent de Payet n'y croit plus

Jacques-Olivier Auguste, agent de Dimitri Payet, a évoqué mercredi le contrat de six ans qui attend son joueur à West Ham. Mais sans exclure que le meneur de jeu de l'OM puisse aussi encore prolonger à Marseille, même si cela semble impossible.

Un décalage abyssal. » Voilà comment Jacques-Olivier Auguste, agent de Dimitri Payet, décrit le gouffre qui existe entre le contrat proposé par West Ham et l’offre de prolongation présentée par Vincent Labrune. Aujourd’hui, l’envie du meneur de jeu de l’OM de rester à Marseille ne peut donc pas résister à l’offre irrésistible du club anglais. « Je ne peux pas demander à mon joueur de s’asseoir sur un contrat de six ans pour rester à Marseille, a avoué l’agent mercredi soir sur RMC. On a vraiment essayé mais il y a un décalage abyssal entre les deux clubs. Vous pourrez toujours me dire que Dimitri a encore deux ans de contrat et qu’il pourrait rester. Mais il y a un pays qui est sur Mars et un autre qui est sur Terre. Pour un effort salarial et un effort de durée, Dimitri prolongera, c’est un homme de contrat. Il est attaché à Marseille et est bien dans ce club-là. Le bout du bout du bout, c’était qu’il parte et on y est. Je serais menteur si je disais que c’est du cinquante-cinquante. »

Une prolongation utopique

Même avec la meilleure volonté du monde, le meilleur passeur du dernier exercice en L1 ne peut pas privilégier une prolongation de deux ans à l’OM à un contrat de six ans à West Ham avec une revalorisation salariale elle aussi très convaincante (de 1,7 à 2,5 M€ par an). Tout laisse donc penser qu’il sera officiellement Hammer dans les prochaines heures. Ce qui n’empêche pas son représentant de toujours garder dans un coin de la tête l’éventualité de rester à Marseille. « Oui, Marseille est d’accord pour vendre. Oui, West Ham est d’accord pour payer. Pour Dimitri, ça sera la solution extrême si vraiment c’est mort du côté de Marseille. Car pour une fois, on a un joueur qui ne veut pas partir de France pour aller en Angleterre. Sa priorité, c'est l'OM, avec lequel il veut continuer l'aventure. Pour cela, il faut que nous trouvions un terrain d'entente avec l'OM pour une prolongation de contrat. Dimitri n’a toujours pas signé de contrat car il est vraiment lié à l’OM. Il attend peut-être encore quelque chose de Marseille. Mais je ne vous cache pas que ce sera très compliqué. » Payet, dans l’avion pour Londres mercredi soir, dira sans doute définitivement adieu à l’OM jeudi ou vendredi.



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Le chemin est encore long pour devenir un grand d'Europe

Le début de Mercato très calme du PSG illustre aussi le fossé qui sépare encore le club de la Capitale des autres grosses 

écuries européennes. Handicapé par le fair-play financier, le PSG doit aussi composer avec une L1 qui ne fait pas rêver. Un vrai casse-tête qui freine les ambitions du club.

Rêvons plus grand ». Le slogan du PSG depuis la prise de pouvoir des Qataris ne manque pas d’ambition. Et le rêve a gagné les supporters parisiens avec trois titres de champion de France d’affilée. Mais au-delà de nos frontières, Paris ne fait encore rêver personne. Pas même Ilkay Gündogan. Le milieu de terrain du Borussia Dortmund, qui sort pourtant de deux saisons très compliquées sur le plan physique, a ainsi reconnu cette semaine avoir repoussé une offre du club de la Capitale.

Depay, Cech, Turan… Les refus s’accumulent

Un refus qui symbolise le début de Mercato parisien. Calme. Trop calme diront certains. La seule recrue parisienne depuis l’ouverture du marché ? Serge Aurier, transféré définitivement en provenance de Toulouse après un prêt la saison dernière. Rien de très emballant. Pourtant, ce n’est pas faute d’essayer. Depay, Cech, Arda Turan : tous ont récemment été approchés par le club entraîné par Laurent Blanc. Le premier a choisi Manchester United, le second serait en partance pour Arsenal et le troisième privilégierait la Premier League. Pourtant, le PSG reste sur trois quarts de finale de la Ligue des Champions…

La Ligue 1 et Paris n’emballent personne

Mais les noms et les palmarès de clubs comme Arsenal, Manchester United ou Chelsea font rêver. Comme c’est le cas du FC Barcelone, du Real Madrid ou du Bayern Munich. « Je pense qu’être champion avec le PSG n’est pas une chose d’un autre monde. Maintenant, être champion en Angleterre, c’est fantastique pour tout le monde car c’est très difficile », déclarait en octobre dernier José Mourinho. Les investisseurs ne se bousculent pas en Ligue 1, malgré l’embryon de projet monégasque et les ambitions lyonnaises, et l’attrait du championnat s’en trouve clairement affecté. Depuis deux ans, les dirigeants du PSG n’hésitent d’ailleurs pas à brandir l’argument du manque d’adversité nationale pour expliquer les difficultés de leur club en Ligue des Champions face aux autres grosses écuries du continent.

Le fair-play financier freine les ardeurs du PSG

Pour ne rien arranger, le fair-play financier vient limiter les dépenses parisiennes sur le marché des transferts depuis deux ans. La saison dernière, les millions d’euros lâchés pour attirer David Luiz avaient quasiment épuisé la manne allouée par l’UEFA. Cet été, le champion de France doit patienter jusqu’au 30 juin, date de la décision de l’UEFA, pour savoir si les sanctions sont allégées et donc connaître le budget dont il disposera pour ce Mercato. D’où le retard à l’allumage et l’absence de recrutement depuis l’ouverture du marché. Résultat, le club du président Nasser Al-Khelaïfi est obligé de tenter des paris, parfois gagnants (Verratti) et parfois perdants (Digne), ou de gonfler ses offres pour convaincre certains joueurs de le rejoindre. A ses dépens car dans le même temps, le fair-play financier veille. Il y a deux semaines, c’est donc le nom d’un inconnu qui a filtré dans les médias allemands pour rejoindre le PSG : Kevin Trapp, gardien de l’Eintracht Francfort. Un vrai cercle vicieux qui freine les ambitions parisiennes au plus haut sommet européen.