quinta-feira, 25 de junho de 2015

Payet et Marseille, une situation compliquée et des torts partagés

Resultado de imagem para BANDEIRA FRANCE  Resultado de imagem para LIGUE 1

Tandis que chaque heure qui passe rapproche Dimitri Payet de West Ham, l’OM a chargé son joueur, se dédouanant trop facilement de ses responsabilités.
La question autour de l’avenir de Dimitri Payet est en train de prendre une tournure proche du règlement de compte. Tandis que le joueur (via son agent) clame son envie de poursuivre l’aventure olympienne, le clublâche publiquement les détails de négociations privées. L’ OM , par la voix de son président, prend la posture de la victime, rejetant toute faute sur le natif de La Réunion, tandis que le joueur cherche à sortir par la grande porte, prenant sans doute exemple sur Didier Drogba, parti avec une énorme cote de popularité car plus ou moins « à l’insu de son plein gré ». Le club et le joueur ont leur responsabilité dans cet enchevêtrement de déclarations et provocations médiatiques, qui en font aujourd’hui un véritable feuilleton.
La communication non maîtrisée de Labrune
Le président, réputé si habile dans sa communication, a fait une erreur. Dès la fin de la saison, et encore un peu plus après l’audition devant la DNCG, il a annoncé et même martelé publiquement que le club avait besoin de trouver 20 millions d’euros d’ici le 30 juin. En invitant aussi clairement les clubs à s’offrir certains de ses joueurs, Vincent Labrune s’est tiré une balle dans le pied.
Les transferts très onéreux sont rares en début de mercato et les clubs intéressés peuvent jouer la montre en évitant la séance d’enchères inévitable après les bonnes saisons de Payet et Imbula. La date limite est fixée dans cinq jours et elle force la main à l’OM qui se retrouve inévitablement en position de faiblesse face aux clubs intéressés.
Ce matin, l’OM, via la truculente plume de son président, a décidé de rendre public le « dossier Payet » via un très sévère communiqué sur son site internet. Le club serait donc la victime du jeu de Payet et son agent, qui réclament une prolongation de contrat (les négociations devaient démarrer début juillet) assortie d’une très forte revalorisation salariale, à un moment où Labrune compte chaque denier et vend tous les bijoux du Royaume.
Pour Labrune, chaque joueur est une ligne sur un bilan comptable . Les prix du transfert et de la vente sont secondaires puisque souvent étalés dans le temps. En revanche, le salaire chargé le préoccupe. C’est pourquoi il a fait partir Ayew et Gignac en fin de contrat. C’est pourquoi il se refuse à augmenter Dimitri Payet, meilleur olympien cette saison, dont la demande peut paraitre légitime – à notre époque – après une telle édition 2014-2015. Pourtant, avec les économies réalisées sur les salaires de Gignac et Ayew (650 000€ bruts mensuels), il avait une marge de manœuvre avec le milieu offensif de l’équipe de France. Mais dans sa course effrénée aux économies salariales, Labrune a décidé d’amputer un peu plus son effectif, quitte à s’attirer les foudres des supporters. Et d’un point de vue communicationnel, répondre à un chantage par un chantage n’élève pas le débat.
Le double-jeu de Dimitri Payet
Le meneur de jeu olympien se prépare-t-il une glorieuse sortie ? La question peut paraître légitime tant son discours officiel tranche avec ses actes lors des négociations avec West Ham. Rapidement tombé d’accord avec le club londonien, 12e de la dernière saison de Premier League , réputé son style purement british, Payet a affiché sa volonté de privilégier l’aspect financier au sportif. Partir de Marseille pour West Ham n’est en rien une progression, excepté pour son salaire net mensuel. Et on se rappelle du mercato estival 2014, quand Payet avait refusé Swansea, pas assez « sexy » sportivement, alors que Labrune faisait le tour d’Europe pour lui trouver un point de chute.
Souhaitant sans doute lisser son image et ne pas passer pour le joueur qui quitte l’OM pour une meilleure proposition financière face à un intérêt sportif douteux, le Réunionnais a fait parler son agent sur tous les médias de France et de Navarre hier soir. En substance, Payet veut rester à l’OM mais pas à n’importe quelles conditions… financières, là encore. Il aime l’OM, mais l’échelle d’affection est accolée à celle de son salaire. « Montre-moi que tu m’aimes en m’augmentant », telle est la réclamation du clan Payet. L’amour intéressé en quelque sorte. Une histoire qui se répète pour Payet, proche de signer au PSG en janvier 2011 avant de rester à Saint-Etienne après avoir fait monter les enchères.
Affiché publiquement par son club, Dimitri Payet est passé de celui qui met la pression à son club à celui qui en hérite. Il peut aussi devenir un exemple dont l’OM se serait bien passé : celui du meilleur joueur de la saison, pas « considéré » pour ses prestations avec un club refusant toute récompense. De quoi faire des émules au sein d’un effectif qui voit chaque jour un cadre partir loin du Vélodrome ? En grand gourou des transferts qu’il tente d’être, Labrune va devoir montrer la voie du succès et de la raison. Deux choses que le club attend depuis bien longtemps…

Bordeaux, Sagnol veut Gourcuff… en stage



Libre depuis la fin de son contrat avec Lyon, Yoann Gourcuff plait à Bordeaux. Willy Sagnol aimerait l’avoir pour un stage.
Yoann Gourcuff peut signer là où il veut depuis la fin de son contrat avec l’OL. Rennes et Bordeaux sont intéressés par le joueur. Mais comme le soulignait Jean-Louis Triaud, le président bordelais, "Yoann est un joueur séduisant. Mais le dossier n’est pas simple.Willy Sagnol aurait demandé à Gourcuff d’intégrer le groupe bordelais pour le premier stage qui commence lundi en Autriche.

OM, Coupet tacle Bielsa



L’OM va vivre une intersaison agitée, en cause de nombreux départs de cadres. Pour Grégory Coupet, Bielsa a sa part de responsabilité.
Après les départs de joueurs cadres en fin de contrat, tels que André-Pierre Gignac et André  Ayew, l’OMpourrait perdre Dimitri Payet et Giannelli Imbula. Le club phocéen va vivre une nouvelle intersaison agitée. Pour Grégory Coupet sur RMC, la faute n’en revient pas qu’au seul Vincent Labrune.
"En ce moment, Vincent Labrune prend pas mal de choses sur les épaules. Mais je ne le trouve pas spécialement aidé par Bielsa. (...) Je souhaite à l’OM que la mayonnaise prenne, mais on a de quoi douter par rapport à un club qui a l’habitude de gagner", jugeait l’ancien gardien français. L’incertitude autour de l’avenir de Marcelo Bielsa handicaperait le club selon Coupet

Drogba se rattrape auprès de l'OM



Après avoir durement taclé son ancien club de l'Olympique de Marseille, l'attaquant ivoirien Didier Drogba a tenu à rappeler son amour du club sur Twitter.
Je t'aime moi non plus. Comme à chaque mercato lorsque Didier Drogba est sur le marché des transferts, les supporters marseillais s'empressent de parler d'un retour de leur ancien attaquant dans la cité phocéenne (il y a évolué entre 2003 et 2004). Mais ce mercredi, il avait profité d'une interview pour une télévision ivoirienne pour tancer son ancien club.

Selon lui, impossible de revenir à l'OM, non pas pour raisons financières, mais tout simplement car le club n'a pas de projets, et perd ses meilleurs éléments : "Ce n’est pas une question financière. Moi j’aime avoir un projet. Et Marseille que je connais très bien n’a pas de projet. Ils ont vendu leurs meilleurs joueurs qu’ils ont laissé aller en fin de contrat. Je veux parler d’André Ayew, d’André Pierre Gignac... Et ils en perdront encore d’autres", avait-il ainsi déclaré.

Une sortie qui a bien évidemment valu la colère des supporters marseillais, très attachés à l'ancien joueur de Chelsea. Ce dernier ainsi tenu cette nuit à laisser un message à ses fans sur son compte Twitter, leur assurant que cela ne changeait rien à son amour du club et des supporters. Mais cela ne le fera pas revenir pour autant.


PSG, Thiago Motta voudrait finir au Qatar ?



L’avenir de Thiago Motta au PSG est encore incertain. En pleine négociation, le joueur a certaines exigences pour son avenir.
Les négociations, pour la prolongation de Thiago Motta, sont interrompues actuellement. Arnaud Hermant, journaliste au Parisien, apporte quelques précisions sur les désirs du joueur du PSG.  "Les négociations suspendues pour Motta ? Je ne pense pas qu’on en soit là. C’est arrêté, pas suspendu. Olivier Létang vient de partir en vacances quelques jours avant de connaitre la réponse pour le fair-play financier mercredi prochain. Je ne pense pas que Motta puisse partir. Le PSG lui a proposé une année supplémentaire, mais Motta voulait une troisième saison mais au Qatar. Le PSG n’est pas forcément contre mais ce n’est pas de sa compétence. Nasser Al-Khelaïfi peut juste faire l’entremetteur. On va finir par trouver un accord", jugeait-il.


Nenhum comentário:

Postar um comentário