terça-feira, 5 de janeiro de 2016

LIGUE 1 - FRANCE - NOUVELLES

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Ce qu'on ne veut plus voir en Ligue 1 en 2016



Ce n'est pas un secret, la première partie de saison a été globalement plus que moyenne en Ligue 1. Alors on espère que les acteurs de notre Championnat ont pris quelques bonnes résolutions. Parce qu'il y a des choses qu'on ne veut vraiment plus voir.

Des excuses bidons

«Oui, mais c’est la faute de l’arbitre»«Oui, mais vous comprenez, c’est pas facile de jouer tous les trois jours»«Oui, mais si on n’avait pas autant de blessés»… Stop ! En Ligue 1, chaque week-end, les mêmes justifications reviennent. Plutôt que de se remettre (publiquement) en question, beaucoup d’entraîneurs et de joueurs préfèrent pointer du doigt l’arbitrage, le calendrier ou les blessures. Quand ce n’est pas la célèbre«faute à pas de chance»… Messieurs, soyez professionnels jusqu’au bout !

Des cadors à la rue

La saison passée, à mi-parcours, Marseille, Lyon, Monaco, Saint-Étienne et Bordeaux avaient cumulé 179 points. Aujourd’hui, ils n’en sont qu’à 135 ! À lui seul, le duo OM-OL (51 points, contre 80 il y a un an) illustre les difficultés des présumés concurrents du PSG. Cette demi-saison médiocre a permis à certaines équipes de s’illustrer (Angers, Caen, Nice), mais la L1 a besoin que ses têtes d’affiche luttent en haut du classement.

Des stars en tribunes

L’année de leurs trente ans, on espère vraiment qu’Abou Diaby (Marseille) et Yoann Gourcuff (Rennes) vont pouvoir retrouver la joie de jouer au plus haut niveau. Les observer se contenter d’applaudir en tribunes ne fait qu’amplifier la frustration de voir leurs carrières s’embourber. On espère également s’enflammer à nouveau devant les exploits de Paul-Georges Ntep, Clément Grenier ou Javier Pastore, tous apparus moins de dix fois en Championnat cette saison.

Des adversaires du PSG résignés

Plus facile à pointer du doigt qu’à corriger, évidemment. Mais voir débarquer bon nombre d’équipes au Parc des Princes le short baissé, prêtes à prendre leur fessée, ce n’est pas franchement emballant. Au début de l’ère qatarie, pas grand monde ne respectait ce PSG construit à coups de millions. Quelque part, ce n’était pas plus mal, car les adversaires, plus ou moins huppés, affichaient une grande détermination sur la pelouse.

Des 0-0 ou 1-0 à foison

Depuis le début de la saison, près d’un tiers des matches de L1 ont produit moins de deux buts (56 matches sur 190, soit 29,5%). C’est trop, forcément, alors on compte sur les attaquants pour prendre l’ascendant. Et sur leurs entraîneurs pour ne pas les laisser livrés à eux-mêmes dans les trente derniers mètres adverses. Tout le monde y gagnera, alors jouez !


Ces placardisés à l'étranger qui feraient du bien à la L1

Anciens de L1 ou pas, trentenaires ou pas, ces dix joueurs pourraient relancer leur carrière en France cet hiver. Ce n'est sans doute pas ce dont ils rêvaient il y a quelques mois, mais tout le monde aurait à y gagner.

1. Memo Ochoa (Malaga)

Huit matches en un an et demi. Depuis son arrivée à Malaga à l’été 2014, Guillermo Ochoa n’a jamais réussi à bousculer son concurrent camerounais Carlos Kameni. Son avenir au sein du club andalou semble bel et bien bouché, alors pourquoi ne pas revenir dans un Championnat qu’il connaît, et où il a particulièrement brillé durant ses deux saisons à l’AC Ajaccio ?

2. Loïc Rémy (Chelsea)

Plus les mois passent, plus l’Euro 2016 s’éloigne pour l’ancien attaquant de l’OM. Déjà utilisé avec parcimonie par José Mourinho (quatorze matches, donc quatre titularisations cette saison), Rémy a carrément disparu de l’équipe depuis l’arrivée de Guus Hiddink. Si son salaire est évidemment hors de portée des clubs français (sauf du PSG), son retour en L1 serait un énorme coup sportif.

3. Kevin Mirallas (Everton)

Lui aussi doit absolument se relancer s’il veut espérer participer au Championnat d’Europe cet été. Titularisé à seulement deux reprises en Premier League par Roberto Martinez, Mirallas paie sans doute son faux départ l’été dernier. L’ancien Lillois représenterait sans doute une idée lumineuse pour un club français ambitieux...

4. Giannelli Imbula (FC Porto)

Six mois après son départ de l’OM, le milieu de terrain de vingt-trois ans est au point mort. Régulièrement écarté par Julen Lopetegui depuis le mois de décembre, Imbula tarde à digérer son statut de joueur le plus cher de l’histoire du Championnat portugais (vingt millions d’euros). Doyen Sports a certainement d’autres projets pour lui, mais à court terme, un rebond efficace passe peut-être par un prêt en L1.

5. Ciro Immobile (FC Séville)

Où est passé l’attaquant virevoltant du Torino, meilleur buteur de Serie A en 2013-2014 ? A bientôt vingt-six ans, Ciro Immobile ne s’impose pas plus en Liga (quatre titularisations avec le FC Séville) qu’en Bundesliga (neuf titularisations avec Dortmund l’an passé). Si le club andalou venait à mettre fin plus tôt que prévu à son prêt, le pari serait tentant.

6. Mathieu Debuchy (Arsenal)

Victime de la progression fulgurante d’Hector Bellerin, Mathieu Debuchy n’est plus qu’un simple remplaçant à Arsenal. Un statut dont il ne peut se satisfaire et qui lui a fait perdre sa place en équipe de France. Les latéraux de haut niveau sont rares en L1. A trente ans, l’ancien Lillois serait peut-être bien inspiré de rentrer au pays s’il veut rattraper le wagon des Bleus.

7. Sylvain Marveaux (Newcastle)

Sa belle saison en prêt à Guingamp lui avait fait espérer un retour sur le devant de la scène. Mais depuis, Sylvain Marveaux n’a pu disputer aucune rencontre officielle avec l’équipe première de Newcastle ! La trentaine approchant à grands pas, le joueur formé à Rennes serait sans doute bien inspiré de revenir au seul endroit où il a su briller : la Ligue 1.

8. Abdelhamid El-Kaoutari (Palerme)

Titulaire en début de saison, l’ancien Montpelliérain a disparu de l’équipe palermitaine depuis le mois d’octobre. A la lutte pour le maintien en Serie A, le club sicilien a changé d’entraîneur en novembre, et Davide Ballardini ne semble pas compter sur El-Kaoutari. Ça tombe bien, certains clubs de L1 sont à la recherche de sang neuf derrière...

9. Idriss Saadi (Cardiff City)

L’ancien attaquant prolifique de Clermont est en train de vivre la même mésaventure qu’Andy Delort l’an passé en Championship. Débarqué à Cardiff l’été dernier, l’attaquant formé à Saint-Etienne n’a disputé qu’une seule rencontre avec le club gallois. Comme Delort avant lui, mieux vaut peut-être savoir revenir avant de disparaître totalement.

10. Gaëtan Bussmann (Mayence)

S’il fait bien partie de l’équipe de Mayence, l’ancien Messin n’a pas encore eu sa chance en Bundesliga, devant se contenter de sept apparitions sur le banc des remplaçants. Plutôt convaincant et régulier l’an dernier malgré la relégation du FC Metz, le latéral gauche de 24 ans semble dans une impasse. Comme pour Mathieu Debuchy, il joue à un poste où les références sont rares en L1.

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