PSG, Marquinhos est gonflé à bloc
Le défenseur du PSG, Marquinhos, a tenu à motiver ses coéquipiers dans l’optique de la finale de la Coupe de France qui les oppose samedi à Auxerre.
Le PSG peut s’assurer samedi un triplé historique en prenant le dessus sur Auxerre en finale de la Coupe de France. Le challenge est excitant et aussi suffisamment important pour que les hommes de Laurent Blancabordent la rencontre avec un grand appétit. Et à ceux qui, parmi les joueurs, ont eu du mal à se motiver en vue de cette dernière rencontre de la saison, Marquinhos, le défenseur brésilien de l’équipe, a tenu un discours guerrier :« La saison n’est pas finie, il y a encore un dernier titre à aller chercher, un dernier effort à faire. Si on arrive à la gagner, ce sera bien pour nous, le club et les supporters. Aucun club ne l’a réussi. On va donc se battre pour réaliser cette performance », a confié celui qui n’a encore perdu aucun match sur la scène française cette saison.
Auxerre vs PSG : heure et chaîne de la finale de Coupe de France en direct (30 mai 2015)
Le PSG et Auxerre s'affrontent, ce samedi 30 mai au Stade de France, en finale de la Coupe de France. Les hommes de Laurent Blanc ont l'occasion de réaliser un quadruplé historique dans l'histoire du club, face à des Bourguignons qui n'ont rien à perdre. Une rencontre à suivre, en direct, sur France 2 à 21h.
C"est le dernier événement foot de cette saison 2014 - 2015 en France. La finale de la Coupe de France oppose, ce samedi 30 mai à 21h au Stade de France, l'AJ Auxerre au PSG. Un duel qui ressemble beaucoup à David contre Goliath. En effet, peu de choses en commun entre les Bourguignons, modestes 9e de Ligue 2 cette saison et le Paris-Saint-Germain, fraîchement titré champion de France pour la 3e année consécutive.
L'armada parisienne, amenée par Zlatan Ibrahimovic et Edinson Cavani a particulièrement à coeur de bien finir la saison par une victoire en Coupe de France. Un trophée supplémentaire qui permettrait à l'équipe de Laurent Blanc de réaliser un quadruplé - trophée des champions, coupe de la Ligue, championnat, coupe de France - encore inédit dans l'histoire du football français.
Tombée dans le ventre mou de la Ligue 2, l'équipe emblématique des années 1990 revient pour un remake de la finale remportée il y a 12 ans par la bande à Guy Roux, en 2003. Reste que, depuis, le PSG made in Qatar règne d'une main de maître sur le foot français et a faim de titres. La rencontre sera diffusée, en direct, sur France 2.
PSG-Thiago Silva: "Si je ne suis pas à 100%..."
Touché à une cuisse et sorti prématurément samedi dernier lors du match de la 38e journée de Ligue 1 entre le PSG et Reims, Thiago Silva est toujours incertain pour la finale de la Coupe de France, samedi au Stade de France contre Auxerre, mais s’est montré rassurant en conférence de presse vendredi.
"Je me sens bien, je me suis entraîné hier avec le groupe. On va voir aujourd’hui comment je me sens. Si je ne suis pas à 100%, je le dirai au coach et il choisira un autre joueur plus concentré et plus prêt que moi physiquement", a déclaré le défenseur brésilien.
Pour son entraîneur Laurent Blanc, "l'équipe se dessine mais on reste toujours prudent. On va attendre le dernier entraînement."
Le PSG fêterait son quadruplé… au Stade de France
Alors que les pouvoirs publics ont refusé au PSG le droit de fêter sa saison dans les rues de Paris avec ses supporters, le club parisien pourrait se rabattre sur… le Stade de France.
D’après RMC, si les joueurs de la capitale remportent la Coupe de France samedi soir face à Auxerre, ils célébreront leur inédit quadruplé (championnat, deux coupes nationales et trophée des champions) au sein même de l’enceinte dyonisienne.
La finale Auxerre-PSG vue dans 194 paysCe samedi, l'AJ Auxerre tentera de créer l'exploit face au PSG en finale de Coupe de France. Une rencontre diffusée sur France 2 et Eurosport en France mais également dans 194 pays à travers le monde.La finale de Coupe de France s’exporte bien. La présence du PSG, qui affrontera Auxerre pour tenter de réaliser un quadruplé cette saison, n’y est pas étrangère.
Ce sont au total 194 pays qui diffuseront le dernier match de la saison française.
Coté européen, des pays comme la Suède, la Norvège, le Danemark, l’Allemagne, la Grèce ou l’Italie seront au rendez-vous. Mais le match Auxerre-PSG sera également diffusé en Amérique du Nord et du Sud, en Asie, en Afrique et au Moyen-Orient. La présence de beIN Média Group dans ces différents territoires explique l’étendue des antennes touchées par cette finale.
Pour rappel, en France la finale sera retransmise sur France 2 et pour la première fois en direct sur Eurosport à 21h.Adrien Rabiot, absent de la mise au vert, sera sanctionnéAdrien Rabiot, qui était arrivé en retard vendredi après-midi à la convocation au Parc des Princes, ne sera pas retenu dans le groupe parisien pour la finale de la Coupe de France et devrait être sanctionné par le PSG.En retard vendredi après-midi à la convocation au Parc des Princes, Adrien Rabiot n'était ni à l'entraînement au Stade de France, ni à la mise au vert, ensuite, avec les Parisiens. Le milieu international Espoir de vingt ans est longtemps resté injoignable, ce qui a particulièrement agacé le staff technique qui ne le retiendra pas dans le groupe ce samedi soir contre Auxerre.
Très irrité par ce comportement, le club devrait sanctionner financièrement Rabiot, alors que Laurent Blanc devrait avoir une petite explication de texte avec lui. Après avoir réclamé une prolongation de contrat jusqu'en 2019 assortie d'une augmentation salariale conséquente (250 000 € par mois, hors prime), le jeune Parisien, qui avait retrouvé la confiance de son coach (33 matches) après une première partie d'exercice conflictuelle à cause de ses envies de départ, est loin d'afficher un état d'esprit exemplaire en cette fin de saison.
La finale Auxerre-PSG vue dans 194 paysCe samedi, l'AJ Auxerre tentera de créer l'exploit face au PSG en finale de Coupe de France. Une rencontre diffusée sur France 2 et Eurosport en France mais également dans 194 pays à travers le monde.La finale de Coupe de France s’exporte bien. La présence du PSG, qui affrontera Auxerre pour tenter de réaliser un quadruplé cette saison, n’y est pas étrangère.
Ce sont au total 194 pays qui diffuseront le dernier match de la saison française.
Coté européen, des pays comme la Suède, la Norvège, le Danemark, l’Allemagne, la Grèce ou l’Italie seront au rendez-vous. Mais le match Auxerre-PSG sera également diffusé en Amérique du Nord et du Sud, en Asie, en Afrique et au Moyen-Orient. La présence de beIN Média Group dans ces différents territoires explique l’étendue des antennes touchées par cette finale.
Pour rappel, en France la finale sera retransmise sur France 2 et pour la première fois en direct sur Eurosport à 21h.Adrien Rabiot, absent de la mise au vert, sera sanctionnéAdrien Rabiot, qui était arrivé en retard vendredi après-midi à la convocation au Parc des Princes, ne sera pas retenu dans le groupe parisien pour la finale de la Coupe de France et devrait être sanctionné par le PSG.En retard vendredi après-midi à la convocation au Parc des Princes, Adrien Rabiot n'était ni à l'entraînement au Stade de France, ni à la mise au vert, ensuite, avec les Parisiens. Le milieu international Espoir de vingt ans est longtemps resté injoignable, ce qui a particulièrement agacé le staff technique qui ne le retiendra pas dans le groupe ce samedi soir contre Auxerre.
Très irrité par ce comportement, le club devrait sanctionner financièrement Rabiot, alors que Laurent Blanc devrait avoir une petite explication de texte avec lui. Après avoir réclamé une prolongation de contrat jusqu'en 2019 assortie d'une augmentation salariale conséquente (250 000 € par mois, hors prime), le jeune Parisien, qui avait retrouvé la confiance de son coach (33 matches) après une première partie d'exercice conflictuelle à cause de ses envies de départ, est loin d'afficher un état d'esprit exemplaire en cette fin de saison.
(D) Une minute de silence avant la finale
Samedi soir, à partir de 21 heures, la finale de la Coupe de France féminine opposera Montpellier à l'Olympique Lyonnais. Et la FFF annonce ce vendredi qu'une minute de silence sera respectée avant le coup d'envoi de la partie, qui se jouera au stade de l'Epopée à Calais.
Cette manifestation sera l'occasion de rendre hommage à petite Chloé, 9 ans, enlevée, violée et tuée dans la ville nordiste mercredi.
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Thiago Silva motivé avant d'affronter Auxerre
Présent en conférence de presse à la veille de la finale de la Coupe de France face à Auxerre, Thiago Silva, le défenseur central brésilien du PSG, a confié sa motivation pour remporter un triplé qui serait historique en France.
Thiago Silva, le groupe est-il obsédé par ce potentiel triplé ?
L’élimination en Ligue des Champions a fait mal à tout le monde mais, par contre, ça nous a permis d’avoir un peu de repos. Après le match contre le FC Barcelone, on a beaucoup travaillé et surtout on s’est parlé pour se dire que la saison, à ce moment-là, n’était pas finie. On a beaucoup de joueurs avec de l’expérience qui ont tout donné pour être en forme en fin de saison. C’est pour ça qu’on a fait une bonne fin de saison. Demain (samedi), on a un match difficile. On a beaucoup de respect pour cette équipe d’Auxerre mais on ne doit penser qu’à nous.
L’élimination en Ligue des Champions a fait mal à tout le monde mais, par contre, ça nous a permis d’avoir un peu de repos. Après le match contre le FC Barcelone, on a beaucoup travaillé et surtout on s’est parlé pour se dire que la saison, à ce moment-là, n’était pas finie. On a beaucoup de joueurs avec de l’expérience qui ont tout donné pour être en forme en fin de saison. C’est pour ça qu’on a fait une bonne fin de saison. Demain (samedi), on a un match difficile. On a beaucoup de respect pour cette équipe d’Auxerre mais on ne doit penser qu’à nous.
Quel a été votre processus pour revenir à votre meilleur niveau ?
C’est le travail. Le début de saison a été très compliqué, surtout après la Coupe du Monde. Il y a eu beaucoup de critiques qui, parfois, font mal pour un joueur de foot. J’ai beaucoup travaillé, surtout mentalement. C’était difficile d’oublier les deux derniers matchs contre l’Allemagne et les Pays-Bas (ndlr : demi-finale et finale pour la troisième place perdues par le Brésil). J’ai beaucoup parlé avec ma famille, mes coéquipiers et le staff technique. Cela m’a beaucoup aidé. C’est pour ça que je suis revenu en forme
C’est le travail. Le début de saison a été très compliqué, surtout après la Coupe du Monde. Il y a eu beaucoup de critiques qui, parfois, font mal pour un joueur de foot. J’ai beaucoup travaillé, surtout mentalement. C’était difficile d’oublier les deux derniers matchs contre l’Allemagne et les Pays-Bas (ndlr : demi-finale et finale pour la troisième place perdues par le Brésil). J’ai beaucoup parlé avec ma famille, mes coéquipiers et le staff technique. Cela m’a beaucoup aidé. C’est pour ça que je suis revenu en forme
« Je connais un petit peu Auxerre »
Connaissez-vous Auxerre ? Cette équipe a-t-elle une petite chance face à vous ?
Oui, je pense parce que c’est le foot. Même si tout le monde dit que le PSG est favori. Paris est favori mais, sur le terrain, c’est toujours difficile. Je connais un petit peu cette équipe. J’ai joué contre Auxerre en Ligue des Champions en 2010 (ndlr : avec le Milan AC lors de la phase de poules). Même Ibra, il a joué face à eux. On la connaît un peu. Elle a beaucoup changé mais la mentalité du club reste la même. Une finale, c’est toujours un match particulier et il faut qu’on soit prêt pour jouer ce match-là.
Oui, je pense parce que c’est le foot. Même si tout le monde dit que le PSG est favori. Paris est favori mais, sur le terrain, c’est toujours difficile. Je connais un petit peu cette équipe. J’ai joué contre Auxerre en Ligue des Champions en 2010 (ndlr : avec le Milan AC lors de la phase de poules). Même Ibra, il a joué face à eux. On la connaît un peu. Elle a beaucoup changé mais la mentalité du club reste la même. Une finale, c’est toujours un match particulier et il faut qu’on soit prêt pour jouer ce match-là.
Seriez-vous satisfait avec ce triplé malgré l’élimination en Ligue des Champions ?
Le premier objectif, c’est la Ligue des Champions mais, cette année, ça n’est plus possible. On va essayer de faire mieux la saison prochaine. On a l’opportunité de faire quelque chose d’historique face à Auxerre. C’est une grande motivation. Tous les joueurs qui viennent à Paris sont là pour gagner.
Le premier objectif, c’est la Ligue des Champions mais, cette année, ça n’est plus possible. On va essayer de faire mieux la saison prochaine. On a l’opportunité de faire quelque chose d’historique face à Auxerre. C’est une grande motivation. Tous les joueurs qui viennent à Paris sont là pour gagner.
Peut-on craindre un peu de déconcentration après la célébration du titre de champion de France ?
C’est le foot. Parfois, cela arrive mais je ne pense pas car demain (samedi), c’est une finale de coupe et on sera très motivé. Les joueurs qui sont allés à Roland-Garros, c’est pour oublier un peu le foot. Cela fait du bien à la tête. J’ai fait pareil en allant voir le Grand Prix de Formule 1 à Monaco (dimanche).
C’est le foot. Parfois, cela arrive mais je ne pense pas car demain (samedi), c’est une finale de coupe et on sera très motivé. Les joueurs qui sont allés à Roland-Garros, c’est pour oublier un peu le foot. Cela fait du bien à la tête. J’ai fait pareil en allant voir le Grand Prix de Formule 1 à Monaco (dimanche).
Viale ne part pas battu
Même si le PSG sera l'immense favori de cette finale de Coupe de France, l'attaquant auxerrois Julien Viale ne veut pas partir battu. Et croise les doigts pour que les circonstances du match fassent le jeu de l'AJA.
Julien Viale, dans quel état d’esprit abordez-vous cette finale face au PSG ?
Dans un état d’esprit libéré. On n’a pas grand-chose à perdre, on va juste essayer d’être sérieux dès le début pour ne pas se mettre le match en l’air au bout de cinq minutes comme avait pu le faire Vannes contre Bordeaux à l’époque (4-0 pour les Girondins en finale de la Coupe de la Ligue 2009). C’était une surprise de les voir en finale, et au bout d’un quart d’heure, le match était plié. Non, non, on y va en étant déterminé à poser des problèmes à cette équipe. Même si on sait que ça sera très compliqué.
Qu’est-ce qui vous laisse penser que vous pouvez réaliser l’exploit samedi ?
Le fait que ce soit la Coupe de France. On parle toujours du charme de la Coupe de France. Même s’il y a rarement des surprises en finale. On se dit que sur un match, on peut peut-être les perturber. Après, on sait très bien qu’on fait face à la meilleure équipe française et l’une des meilleures d’Europe, donc on n’arrive pas la fleur au fusil. On sait à quoi s’attendre : il va falloir beaucoup courir, beaucoup défendre. Et on ne sait jamais, si sur un contre ou un coup de pied arrêté, on peut leur faire mal, on ne se gênera pas. Mais on sait qu’on va vivre un moment compliqué pour nous.
Que répondez-vous aux gens qui vous promettent avant l’heure la même correction que les Bastiais en finale de la Coupe de la Ligue (4-0 pour les Parisiens) ?
(Il se marre) Déjà, j’espère qu’ils se trompent. En tout cas, on fera tout pour leur donner tort. On va venir avec nos idées, on travaille dessus depuis un petit moment, on espère que ça portera ses fruits samedi. Ce qui nous permet d’espérer quelque chose, c’est qu’on est tous des compétiteurs, et s’il y en a un qui pense qu’on a zéro pour cent de chances de faire quelque chose, ça ne sert à rien de se déplacer samedi. On est des compétiteurs, et la compétition, c’est la gagne, donc même si on a peu de pourcentage de chance, le peu de chance qu’il nous reste, on va essayer de le jouer à fond. La Coupe de France n’était pas un objectif en début de saison, mais on s’est pris au jeu. Même si nos tirages n’étaient pas compliqués sur le papier, on a eu des matchs compliqués face à de petites équipes. Si on n’avait pas eu cette finale à jouer, on aurait pu être déçus de notre saison. C’est un peu la cerise sur le gâteau, c’est pour ça qu’on va essayer de finir en beauté, de ne pas avoir de regrets et de passer à autre chose la saison prochaine.
Dans un état d’esprit libéré. On n’a pas grand-chose à perdre, on va juste essayer d’être sérieux dès le début pour ne pas se mettre le match en l’air au bout de cinq minutes comme avait pu le faire Vannes contre Bordeaux à l’époque (4-0 pour les Girondins en finale de la Coupe de la Ligue 2009). C’était une surprise de les voir en finale, et au bout d’un quart d’heure, le match était plié. Non, non, on y va en étant déterminé à poser des problèmes à cette équipe. Même si on sait que ça sera très compliqué.
Qu’est-ce qui vous laisse penser que vous pouvez réaliser l’exploit samedi ?
Le fait que ce soit la Coupe de France. On parle toujours du charme de la Coupe de France. Même s’il y a rarement des surprises en finale. On se dit que sur un match, on peut peut-être les perturber. Après, on sait très bien qu’on fait face à la meilleure équipe française et l’une des meilleures d’Europe, donc on n’arrive pas la fleur au fusil. On sait à quoi s’attendre : il va falloir beaucoup courir, beaucoup défendre. Et on ne sait jamais, si sur un contre ou un coup de pied arrêté, on peut leur faire mal, on ne se gênera pas. Mais on sait qu’on va vivre un moment compliqué pour nous.
Que répondez-vous aux gens qui vous promettent avant l’heure la même correction que les Bastiais en finale de la Coupe de la Ligue (4-0 pour les Parisiens) ?
(Il se marre) Déjà, j’espère qu’ils se trompent. En tout cas, on fera tout pour leur donner tort. On va venir avec nos idées, on travaille dessus depuis un petit moment, on espère que ça portera ses fruits samedi. Ce qui nous permet d’espérer quelque chose, c’est qu’on est tous des compétiteurs, et s’il y en a un qui pense qu’on a zéro pour cent de chances de faire quelque chose, ça ne sert à rien de se déplacer samedi. On est des compétiteurs, et la compétition, c’est la gagne, donc même si on a peu de pourcentage de chance, le peu de chance qu’il nous reste, on va essayer de le jouer à fond. La Coupe de France n’était pas un objectif en début de saison, mais on s’est pris au jeu. Même si nos tirages n’étaient pas compliqués sur le papier, on a eu des matchs compliqués face à de petites équipes. Si on n’avait pas eu cette finale à jouer, on aurait pu être déçus de notre saison. C’est un peu la cerise sur le gâteau, c’est pour ça qu’on va essayer de finir en beauté, de ne pas avoir de regrets et de passer à autre chose la saison prochaine.
« Appuyer là où ça pourrait leur faire mal »
Selon vous, dans quel secteur de jeu cette équipe du PSG donne-t-elle l’impression d’être le plus friable ?
Ah, il n’y en a pas beaucoup. Surtout, là, en cette fin de saison. On a l’impression qu’ils ont accéléré. Personnellement, j’aurais préféré qu’ils se qualifient en Ligue des Champions, comme ça ils auraient pu avoir cette finale en tête plutôt que celle de la Coupe de France. Mais là, ça va être leur dernier objectif de la saison, donc j’imagine qu’ils vont tout donner une dernière fois. Il y a peu d’équipes en France qui leur ont trouvé des points faibles, donc on n’est pas plus avancé. En tout cas, on va essayer d’appuyer là où ça pourrait leur faire mal. On ne sait jamais, sur un coup de pied arrêté ou s’ils se projettent beaucoup vers l’avant et qu’on peut les contrer. Mais c’est sûr que ce n’est pas évident de leur trouver un point faible.
Après votre qualification contre Guingamp, votre fin de saison a été très loin d’être convaincante. Dans ces conditions, comment arrivez-vous à trouver un certain optimisme avant cette finale ?
C’est vrai qu’on était encore en course pour la montée à une période. Et quand on a reçu le 18eme et qu’on a perdu et qu’on est ensuite allé chez le 19eme et qu’on a perdu aussi, on savait qu’on avait hypothéqué toutes nos chances de monter. A partir de là, on s’est mis en tête de travailler pour préparer cette finale. On a peut-être un peu changé notre façon de jouer, c’est peut-être pour ça que nos résultats étaient moins bons. Peut-être aussi qu’inconsciemment, des joueurs avaient cette finale en tête. C’est sûr que cette qualification ne nous a peut-être pas fait que du bien, mais elle est là, donc on va la jouer à fond.
Sur le niveau de vos dernières sorties en championnat, auriez-vous le moindre espoir de battre Paris ?
Non, non, non. C’est sûr qu’il faudra en faire beaucoup plus. On sait que ça reste une finale et qu’inconsciemment, on en fera peut-être tous beaucoup plus, parce qu’il faudra en faire beaucoup plus. Et si on est tous à 200 ou 300%, on pourra peut-être faire quelque chose de sympa. La recette ? Déjà, rester solide. Si on prend un but ou deux dans le premier quart d’heure, ça risque d’être vraiment très compliqué. Maintenant, si on arrive à les perturber le plus longtemps possible, on ne sait jamais ce qu’il peut se passer au fil du match. Il faut qu’on réussisse à rester très solide défensivement, et à leur mettre quelques flèches offensivement.
Ah, il n’y en a pas beaucoup. Surtout, là, en cette fin de saison. On a l’impression qu’ils ont accéléré. Personnellement, j’aurais préféré qu’ils se qualifient en Ligue des Champions, comme ça ils auraient pu avoir cette finale en tête plutôt que celle de la Coupe de France. Mais là, ça va être leur dernier objectif de la saison, donc j’imagine qu’ils vont tout donner une dernière fois. Il y a peu d’équipes en France qui leur ont trouvé des points faibles, donc on n’est pas plus avancé. En tout cas, on va essayer d’appuyer là où ça pourrait leur faire mal. On ne sait jamais, sur un coup de pied arrêté ou s’ils se projettent beaucoup vers l’avant et qu’on peut les contrer. Mais c’est sûr que ce n’est pas évident de leur trouver un point faible.
Après votre qualification contre Guingamp, votre fin de saison a été très loin d’être convaincante. Dans ces conditions, comment arrivez-vous à trouver un certain optimisme avant cette finale ?
C’est vrai qu’on était encore en course pour la montée à une période. Et quand on a reçu le 18eme et qu’on a perdu et qu’on est ensuite allé chez le 19eme et qu’on a perdu aussi, on savait qu’on avait hypothéqué toutes nos chances de monter. A partir de là, on s’est mis en tête de travailler pour préparer cette finale. On a peut-être un peu changé notre façon de jouer, c’est peut-être pour ça que nos résultats étaient moins bons. Peut-être aussi qu’inconsciemment, des joueurs avaient cette finale en tête. C’est sûr que cette qualification ne nous a peut-être pas fait que du bien, mais elle est là, donc on va la jouer à fond.
Sur le niveau de vos dernières sorties en championnat, auriez-vous le moindre espoir de battre Paris ?
Non, non, non. C’est sûr qu’il faudra en faire beaucoup plus. On sait que ça reste une finale et qu’inconsciemment, on en fera peut-être tous beaucoup plus, parce qu’il faudra en faire beaucoup plus. Et si on est tous à 200 ou 300%, on pourra peut-être faire quelque chose de sympa. La recette ? Déjà, rester solide. Si on prend un but ou deux dans le premier quart d’heure, ça risque d’être vraiment très compliqué. Maintenant, si on arrive à les perturber le plus longtemps possible, on ne sait jamais ce qu’il peut se passer au fil du match. Il faut qu’on réussisse à rester très solide défensivement, et à leur mettre quelques flèches offensivement.
« Les Bourguignons sont fiers de notre parcours »
Par rapport à l’histoire du club en Coupe de France, sentez-vous une attende particulière des supporters et de toute la Bourgogne ?
Oui, beaucoup de personnes nous en parlent. Dès qu’on croise des gens en ville ou ailleurs, ils nous parlent tous de ça. La plupart des Bourguignons sont fiers de notre parcours et ils vont venir nombreux nous pousser car nous serons le Petit Poucet de cette finale. Beaucoup de personnes espèrent qu’on pourra chatouiller le grand Paris.
D’un point de vue personnel, que représente cette finale pour vous ?
C’est super. Moi, j’ai maintenant 33 ans. Comme j’ai dit à la plupart des jeunes de l’effectif, il faut vraiment y aller sans aucun regret, car ça ne se représentera pas toutes les années. Moi, ça va être ma première finale. Beaucoup de joueurs ont fait une grosse carrière mais n’ont pas joué de finale de Coupe de France, donc c’est un truc sympa à vivre. C’est pour ça qu’il ne faut surtout pas avoir de regrets au coup de sifflet final.
La première déception serait de ne pas y participer d’entrée ?
Oui. C’est sûr que des matchs comme ça, on a tous envie de les débuter et de les faire du début à la fin. Maintenant, le coach fait ses choix, et par rapport à nos postes, on a des jeux différents, que ce soit moi ou « Fanta » (Cheick-Fantamady Diarra), qui est en concurrence avec moi pour le poste de devant. Ça sera au coach de choisir. Mais c’est vrai qu’on n’a pas le même style de jeu, donc c’est lui qui choisira quel système il veut mettre en place, et on fera avec.
Oui, beaucoup de personnes nous en parlent. Dès qu’on croise des gens en ville ou ailleurs, ils nous parlent tous de ça. La plupart des Bourguignons sont fiers de notre parcours et ils vont venir nombreux nous pousser car nous serons le Petit Poucet de cette finale. Beaucoup de personnes espèrent qu’on pourra chatouiller le grand Paris.
D’un point de vue personnel, que représente cette finale pour vous ?
C’est super. Moi, j’ai maintenant 33 ans. Comme j’ai dit à la plupart des jeunes de l’effectif, il faut vraiment y aller sans aucun regret, car ça ne se représentera pas toutes les années. Moi, ça va être ma première finale. Beaucoup de joueurs ont fait une grosse carrière mais n’ont pas joué de finale de Coupe de France, donc c’est un truc sympa à vivre. C’est pour ça qu’il ne faut surtout pas avoir de regrets au coup de sifflet final.
La première déception serait de ne pas y participer d’entrée ?
Oui. C’est sûr que des matchs comme ça, on a tous envie de les débuter et de les faire du début à la fin. Maintenant, le coach fait ses choix, et par rapport à nos postes, on a des jeux différents, que ce soit moi ou « Fanta » (Cheick-Fantamady Diarra), qui est en concurrence avec moi pour le poste de devant. Ça sera au coach de choisir. Mais c’est vrai qu’on n’a pas le même style de jeu, donc c’est lui qui choisira quel système il veut mettre en place, et on fera avec.
Coupe de France : le PSG rejoint Auxerre en finale
Le Paris SG, porté par un grand Ibrahimovic (3 buts), s'est qualifié mercredi pour la finale de la Coupe de France en battant Saint-Etienne (4-1) au Parc des Princes. Il affrontera Auxerre en finale.
Foot - Coupe de France : le PSG affronte Auxerre en finale pour un triplé historique
Le PSG joue la finale de la Coupe de France contre Auxerre ce samedi Stade de France. Le club de la capitale, sacré champion de France de Ligue 1, part grand favori face au club de Ligue 2 pour signer un triplé historique sur la scène nationale. Coup d'envoi du match à 21h
Le PSG, déjà vainqueur huit fois de la Coupe de France (1982, 1983, 1993, 1995, 1998, 2004, 2006 et 2010), vise ce samedi soir au Stade de France un triplé inédit sur la scène nationale : championnat-Coupe de la Ligue-Coupe de France (et un quadruplé si l'on prend en compte le Trophée des Champions remporté en début de saison face à Guingamp).
En face, Auxerre compte bien créer l'exploit pour engranger une cinquième Coupe de France (1994, 1996, 2003, 2005) face à l'ogre parisien. La dernière fois que l'AJA et le PSG se sont rencontrés en finale de cette compétition en 2003.
| Auxerre | vs | Paris Saint Germain |
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